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115 résultats pour “Marie-pierre nadal

Concours de nouvelles sur le covid 19 Cathou Quivy

Publié le par Evy

Voilà la page d'intro : 

Textes lauréats du concours “Écrire sous la dictée du coronavirus” organisé par l'Association Livre Voyageur et les Éditions Stellamaris – France en partenariat avec les Éditions Véritas – Cameroun au profit de l'Association" Livre Voyageur"(1)
1 Les droits d'auteur de l'ouvrage seront intégralement reversés à cette association.
 
 
Voici les 2 premières pages de mon texte :
 
Vous avez dit confinement ? Cathou Quivy 
 
1ère semaine : s’habituer…
 
"J’habite, avec mon mari une maison située en plein dans le vieux centre d’une petite ville de 18 000 habitants. Notre habitation est certes confortable et grande, mais elle a l’inconvénient de ne posséder aucun jardin, aucune cour, aucune terrasse ni le moindre petit balcon, ce qui, en temps d’épidémie et surtout d’enfermement, est un vrai handicap ; vous en conviendrez ! J’en viens à jalouser les gens qui possèdent un vaste jardin et qui expliquent, avec force détails, tous les agréments qu’ils en tirent… j’ai juste envie de me boucher les oreilles ! Confinement donc ! Presque total… il nous faut trouver des occupations ! Outre les parties de scrabble, de cartes ou de dés que je partage avec mon mari, je range, je trie, je classe, j’ordonne, je sélectionne, je fais des piles de ce que je donnerais plus tard à Emmaüs ou que j’irais porter à la déchetterie. J’ai oublié d’expliquer que notre maison est construite sur cinq étages et que, même si je suis du genre ordonnée, voire organisée, il y a de quoi faire… J’ai commencé par les placards de la cuisine et j’ai pris le temps de les vider, afin de répertorier ce que j’y ai trouvé pour faire l’inventaire de nos réserves de nourriture, au cas où… J’envie les ours et les marmottes qui ont le pouvoir de se confiner pour l’hiver sans manger !  Puis, j’ai grimpé un étage et j’ai attaqué le classement de ma bibliothèque qui, je dois l’avouer, n’avance pas très vite, car je suis incapable de saisir un livre sans l’ouvrir ! Étant accro à la lecture, ouvrir un bouquin c’est, pour moi, inévitablement commencer à le lire ! Après tout, ce confinement qui semble vouloir s’allonger me donnera l’occasion de redécouvrir ceux que j’avais oubliés… Ma seule angoisse est le risque de me retrouver sans rien avoir à lire, car mes pourvoyeurs habituels de manuels sont aussi en quarantaine… et je refuse tout net de commander, par Internet de surcroît, quoique ce soit, chez A… qui torpille, sans état d’âme, nos petites librairies… Autre étage, autres occupations : la couture ! J’ai d’abord trié mes bobines de fils, j’ai ouvert les boîtes à boutons pour les ranger par couleur, et les mettre dans des boîtes différentes, j’ai déplié les morceaux de tissu que j’avais en réserve, j’en ai sélectionné certains, et j’ai commencé à fabriquer des masques pour nous protéger du coronavirus ! Seul hic ; les infos concernant ces masques en coton faits maison ; sont contradictoires et je n’ai pas toujours pas compris s’ils sont efficaces ou non ! Ma foi, faute de mieux, mon mari les utilisera dans le petit atelier de menuiserie qu’il a installé au rez-de-chaussée de la maison mais qu’il ne fréquente plus pour le moment, faute de matière première, les magasins de bricolage étant aussi confinés, donc fermés ! Il me reste encore deux étages à explorer avant la fin du confinement. Je suis sûre que la salle d’eau avec la pharmacie a besoin d’un vrai rangement et d’un bon ménage de printemps… J’ai aussi sorti toutes les serviettes et les gants de toilette pour connaître leur état d’usure et décider du remplacement de certaines pièces, quand les magasins ré-ouvriront. En attendant j’ai refait plusieurs piles, la première étant constituée des serviettes les moins usées et la dernière regroupant celles qui me serviront de chiffons. Occupation inintéressante au possible mais qui donne un goût, somme toute, réjouissant, du travail terminé !"
 
et les noms des auteus qui ont participé !
Rues et trotoirs – Nouhad Abou Samra, Liban/France/Suisse................. 11
Vous avez dit confinnement ? – Cathou Quivy, France ........................... 22
Le Pendant et l’Après – Pierre-Michel Sivadier, France...........................39
Extraits du confinement – Pierre-Michel Sivadier, France......................40
The reign of consternation – Wanyu Ernest Nyamkoh, Cameroun .......50
Le règne de la consternation – Wanyu Ernest Nyamkoh, Cameroun......51
Quand vint Corona Virus-19… Mathe Kisughu, République Démocratique du Congo..........72
Prévenir vaut mieux que guérir Makembe Makembe Karl Ferdinand Jephté, Cameroun .........79
Jour après jour – Constant Saha, Cameroun ............................................87
Corona war Makembe Mouandjo Emmanuelle Kelly Roxanne, Cameroun ....99
 
 
Une belle aventure 🙂 je suis contente d'y avoir participée
 
 
 
 
 
 
 

 

Publié dans Concours, Cathou Quivy

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Poème (extrait de la Confiture de Vieux Garçon) Nicole Bernard Villa

Publié le par Evy

Idée cadeau pour la Fête des mères 

 

Poème (extrait de la Confiture de Vieux Garçon) Nicole Bernard Villa

 

Avec de belles fleurs, achetez un bouquin.

D’un roman historique, d’amour ou même noir,

Nouvelle ou poésie, conte issu du terroir,

Étonnez votre amour en lui offrant un livre.

La lecture et l’amour nous aident à mieux vivre.

 

 

Poème (extrait de la Confiture de Vieux Garçon)

 

… Il avance sans bouger

Lentement

très lentement

Il avance sur l’eau de sable sèche

couleur de miel et de jade vert

Il marche vers moi sans bouger

 

Je sais que je l’attends

immobile

figée dans cet énorme élan du désir

qui me projette toute entière vers lui

l’homme inouï

 

Il n’a pas de visage

et son regard a la couleur

des horizons perdus

je sais seulement qu’il est beau

absurde et magnifique

pétri de sable d’ocre et de fontaines

ruisselantes d’ambre bleue

Il porte au cou une pierre de jade

où frémit le reflet de la mer

 

d’où il vient

 

parce qu’il vient de la mer

seulement de la mer

 

Je sais qu’il vient de la mer

une mer de sable d’ocre

aux fontaines d’ambre bleue

dont l’écume noire projetée

mime le vol des lourds albatros

en ombre inverse de la lumière

dans l’odeur âcre

du sel et des algues vert jade

Frisson sur la peau

frémissement des paupières

le doux remue-ménage de la mer

au profond du ventre

frémissement du désir

dans le lent déploiement

des longues ailes de l’oiseau blanc

dont le vol lourd et superbe

suit voluptueusement la courbe

de la vague abandonnée sur le sable

 

Désir

désir obscur et tenace

désir interdit

de l’homme inouï

qui marche lentement

si lentement

sans bouger

figé dans mon rêve

comme le désir fou d’aimer

 

Il ne reste plus que le vent

un vent sec acharné aride acéré

un vent minéral de sable brut

 

l’homme inouï est debout

sans bouger dans sa marche lente

qui ne va nulle part

 

une ombre de sourire 

sur son absence de visage

une brûlure de sourire

dans mon ventre liquide

où ruissellent des fontaines

d’ambre bleu

aux étincelances d’ocre blond

Des vagues de petits grains de désir

acérés

soulevés par l’aigu du vent

déchirent mon ventre gonflé

 

Le désir a le goût fade du sang

La pierre de jade bleue

qu’il porte autour du cou

s’est mise à brûler

d’un étrange feu de cobalt

où se dissout la dernière lumière

de vie

jusqu’à ce que mon désir inassouvi

soit entièrement consumé

et qu’il ne reste plus à son cou

qu’un collier de cendres grises

et de plomb

un petit cercle de cendres grises

sans couleur

la mémoire de la mer

à jamais desséchée

dans l’implosion du désir

refusé

 

de la cendre de désir mort

 

L’homme inouï 

s’est approché sans bouger

 

je sais qu’il s’est approché

parce que sa nuit m’a enveloppée

jusqu’à l’oubli même du désir

jusqu’à l’inconscience même d’être

 

je suis dans son odeur

je suis l’algue et le limon

le tabac et l’oiseau mort

la terre mouillée et le pourpre

je suis la cendre de jade brûlée

 

il est autour de moi

comme le vent

comme la mer

je l’entends rire

de son rire inouï

irisé d’éclats vifs d’ambre bleu

comme mémoire de la mer

d’où il vient

car il vient de la mer

seulement de la mer

 

je sais qu’il vient de la mer

qu’il est là

autour de moi

traçant de son rire impérieux

la ligne infernale

du dixième cercle de l’amour

où viendra enfin se perdre

et mourir

l’indicible volupté

d’un désir

 

inouï

 

Pour vous procurer ce roman, il suffit d'en faire la demande par mail ànicole.bernard.villa@gmail.comVous le recevrez avec une petite dédicace et l'adresse de l'auteur pour paiement.

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Liste des Dédicaces à venir Guy Raynaud

Publié le par Evy

 

SALONS DU LIVRE A VENIR :

 

- 9. Mai = salon du livre de BAIXAS

 

- 6. Juin = salon de CANOHES

 

- 7. Août = salon de PRATS DE MOLLO

 

- Octobre = Salon du livre et du Chocolat de STE-MARIE LA MER

 

- Salon du livre de FENOUILLET

 

J'essaie de m'inscrire à tous.

 

DEDICACES A VENIR :

 

- 16. Avril = Le Jean Bart à St-Cyprien 66 

 

- 17. Avril = L'escargot Bleu à Argelès 66

 

- 21. Avril = L'escargot Bleu à Argelès 66

 

- 22. Avril = Des trucs et des Machins à St-Cyprien 66

 

- 23. Avril = San Gordi à Maureillas 66

 

- 24. Avril = Super U de Prades 66

 

Avec 1 article sur l'indépendant d'Argelès et 1 autre sur celui de St-Cyprien vers le 15 avril.

 

Je vous joins aussi une photo.

 

D'autres revues de presse vous seront envoyées prochainement.

 

Bien cordialement. 

 

Guy RAYNAUD 

Mobile : 06 72 28 93 43

www.guyraynaud-romanspoliciers.fr 

 

Publié dans Dédicaces des Auteurs

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Idée cadeau pour les fêtes ou pour le plaisir de le lire...

Publié le par Evy

Idée cadeau pour les fêtes ou pour le plaisir de le lire...


C:\Users\Sylvette\Documents\Partie Ecriture\Salons et autres autour\_Editeurs et salons\_Salons et Dédicaces\Photos dédicaces\2017_Mazamet_2.jpg

La Cécilia – Extrait N°1 :

Séverine arrêta sa voiture devant la maison.  Elle ouvrit la portière, aspira un grand bol d’air et sourit. Ici, tout irait mieux. Ce coin d’Ardèche avait le don de l’apaiser. Elle ne savait pas pour quelle raison, mais dès qu’elle pensait à sa maison, un sentiment de plénitude, de bien-être l’envahissait. Elle allait vite se retaper, recharger ses batteries ! Plus tard, elle repenserait à tout ça. Elle était partie sur un coup de tête.  Depuis quelque temps, rien n’allait plus au boulot et voilà qu’à la maison, cela n’allait pas non plus !  

Séverine travaillait depuis 25 ans déjà dans une banque de Montpellier.  Son bac en poche, filière scientifique, elle avait présenté divers concours dont celui permettant de devenir banquier. Elle avait brillamment remporté les écrits, comportant du français et des mathématiques. L’épreuve d’oral avait été une simple formalité.  Elle avait également remporté deux autres concours, l’un lui permettant d’accéder à une école d’infirmières réputée, l’autre à une formation en deux ans au diplôme de manipulateur en radiologie.  Mais Séverine avait soif d’indépendance.  

 Bien que cela fût tout à fait dans ses compétences (la jeune fille n’avait-elle pas obtenu son bac avec la mention bien ?), elle n’avait pas voulu s’inscrire à la fac. Elle voulait gagner sa vie. Elle ne savait pas du tout en quoi consistait le métier de banquier, mais il lui permettrait d’acquérir rapidement son indépendance, d’empocher tout de suite ses premiers salaires.  

 Elle rêvait déjà de Victor…  Ils allaient pouvoir s’installer ensemble et ne plus se quitter toute leur vie durant.  

 Victor ! Séverine secoua la tête.  Elle ne voulait pas penser à Victor pour l’instant. Elle avait besoin de temps pour pouvoir songer à son mari sereinement.  

 Elle sortit du coffre de l’auto le sac de voyage qu’elle avait rempli à la hâte avant de quitter le domicile conjugal. Elle sentit son téléphone portable vibrer dans la poche de son jean. Elle déplia le Samsung et jeta un coup d’œil sur l’écran.  

 C’était un message de Violette.  

 Aujourd’hui au bureau, Pierre, leur directeur, et Christiane, la responsable du département dont dépendait Séverine, leur avaient appris que la jeune femme avait obtenu un congé sans solde de quatre mois.

 

Envie de le lire, n’hésitez pas passer commande directement auprès de l'auteur : sylvette.faisandier.auteur@sfr.fr. Indiquez vos coordonnées par mail, ainsi que votre adresse. En retour je vous donne la mienne pour le règlement du roman (16,90€). Frais de port, marque-page et dédicace offerts.

 

 

 

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Le 12 septembre, l'Abbaye de Saint Polycarpe, aux portes de Limoux...

Publié le par Evy

Le 4ème Salon du livre aura lieu dimanche 12 septembre jour de la saint Apollinaire à l' Abbaye de St Polycarpe, aux portes de Limoux 11.

Dans le cadre d’exception de l'Abbaye chargé de pierres, d'Histoire et de traditions aura lieu la quatrième rencontre avec des écrivains de notre région pour une journée de dédicaces.
Nous accueillerons l'auteure Cathy QUIVY
- « La croqueuse de mots » recueil de nouvelles dont le fil rouge est l’amour des mots ; l’utilisation et la compréhension donc l’usage que l’on peut en faire.
- « Jeanne de la Périgouse » un récit biographique écrit sur la demande de Jeanne une vieille institutrice qui vit toujours en Lozère et qui voulait témoigner des conditions de vie en 1939 quand elle a remplacé l’instituteur parti à la guerre. Elle vivait et travaillait dans une école à classe unique sur le Causse Méjean au milieu d’un paysage sublime mais totalement désert. Elle a mis 2 ans à écrire cette histoire de vie ; allant voir la vielle dame fréquemment pour l’interroger et recueillir son témoignage.
- « Ne me lâche pas la main » qui est l’histoire de l’accueil à partir de 1978/79 d’une trentaine de familles réfugiées Hmong Laotiens, en sud Lozère. Ils fuyaient les exactions du parti au pouvoir à leur encontre. Les Hmong possèdent une culture très ancienne et originale totalement orale. Aujourd’hui plus de 40 ans après elle est restée très amie avec certaines de ces familles au point qu’ils lui ont donné un nom Hmong et qu’on continue à se voir et à se recevoir très régulièrement. Ce livre est illustré et traduit en Hmong
- « Potins de rue » est un petit recueil de nouvelles né du choc des situations : habiter dans un hameau d’une quinzaine d’âmes en pleine campagne où seuls les hululements des chouettes, le chant des rossignols ou les appels des chevreuils nous réveillaient les nuits d’été et emménager en plein centre ancien d’une ville , est pour le moins étonnant déroutant voire stressant.
- « Trois destins » est un livre largement inspiré de son histoire familiale.
Dernier recueil :
 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Sylvie Sorgesa, Véronic Isabel Via et 2 autres personnes
 
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Bibliographie Nicole Yrle

Publié le par Evy


Bibliographie 

 

- Textes divers (nouvelles et haïkus) parus dans des ouvrages collectifs entre 2008 et 2011

- Livrets de nouvelles publiés entre 2008 et 2010, dont un, Amertume et Douceur, D’un Noir Si Bleu Éditeur.

- La pierre de Rose, 2009, nouvelles, auto-édition – 10 €

- Nous nous sommes tout dit, 2010, récit, auto-édition ; primé en 2008 par l'Académie Poétique et Littéraire de Provence. 15 €

- Les Dames de Paulilles, 2010, roman, Cap Béar Éditions 15 €

- Noces de Lavande, 2011, roman, Cap Béar Éditions 15 €

- D’un rivage l’autre, 2012, Essai avec photos et poèmes, (Peel Nguyen Thi Thât coauteur), Cap Béar Éditions  25 €

- Éclats de vies, 2012, nouvelles, Cap Béar Éditions 11 € 

- Le Secret de Lorca, 2013, roman policier Jeunesse, Cap Béar Éditions 9 €

- Couleur Corail, 2013, roman, Cap Béar Éditions 15 €

- Le Premier Homme de Camus – Analyse et découverte, 2014, essai, Cap Béar Éditions 4,50 €

- Clin d’Œil, 2014, nouvelles,Cap Béar Éditions 12 €

- Beau comme un dieu, 2014, roman jeunesse et adultes, Cap Béar Éditions 12 €

- La Chouette Maison, 2014, album jeunesse, Cap Béar Éditions 5 €

- François de Fossa – L’Exil d’un Virtuose (Première époque), 2015, biographie romancée, Cap Béar Éditions 16 €

- François de Fossa, Variations en Clair-Obscur (Seconde époque), 2016, biographie romancée, Cap Béar Éditions 18 €

- Eleonora, 2018, roman, Cap Béar Éditions 16 €

- Baisers du sommeil, 2019, roman policier, Cap Béar Éditions 14 €

- Lignes de Crêtes, 2020, roman, Cap Béar Éditions 18 €




 











 





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"la mort du blanquetaire" extrait du livre "La vallée du bonheur" Jean-Louis Sanchez

Publié le par Evy

Le péché de gourmandise

 

A André, grand maître de la confrérie du foie gras à Mazéres ancien adhérent des auteurs d'Occitanie et aujourd'hui disparu ….

 

Lorsqu’il se présenta aux portes du paradis, l’Augustou n’en menait pas large, d’autant qu’à quelques mètres de là crépitaient les flammes de l’enfer et qu’une forte odeur de roussi venait effleurer ses narines.

 

Saint Pierre l’attendait sur le perron du purgatoire et arborait un air avenant:

 

- Bonjour manhac (gentil garçon), as tu fait un bon voyage?

 

- Très bon seigneur, mais ....... vous parlez patois?

 

- Mais oui, pitchon notre religion rayonne sur toute la planète et je suis obligé de connaître toutes les langues de mes paroissiens. Je parle usuellement le Russe, les dialectes africains ou le Chinois ainsi que le basque, le breton et le catalan.

 

- C’est stupéfiant! Parlez vous également le Corse?

 

- Euh ..... le Corse ..... Là, vois tu,........ je ne peux pas te répondre car je suis soumis au secret professionnel! Mais, revenons à nos préoccupations, tu sais que je dois décider de ton avenir et nous devons passer en revue ton existence antérieure pour voir si tu mérites d’atteindre le paradis. As tu commis les sept péchés capitaux?

 

- Seigneur, je n’ai jamais tué personne, mis à part quelques perdigals (perdreaux) ou lapins forains et encore très peu car j’étais malaisit (maladroit) au fusil.

 

- As tu volé?

 

- Oh non, je n’ai jamais pris l’avion!

 

- As tu volé quelque chose?

 

- Jamais de ma vie, sauf, peut être, quelques figues ou cerises dans les vergers de mes voisins.

 

- Je vois, il s’agit de quelques larcins sans importance majeure. As tu souvent menti?

 

- Vous savez seigneur, mentir dans le midi c’est comme respirer, tout le monde ment du plus petit au plus âgé. Le mensonge nous est aussi nécessaire que l’EPO au coureur cycliste. Dire la vérité serait comme jouer aux cartes sans tricher, quelque chose d’inconcevable!

 

- Je le sais bien Auguste! J’ai à ce sujet de gros problèmes avec mes pensionnaires originaires du Sud de la Loire.

 

- Je me mets à votre place, mais vous ne pouvez pas nous envoyer tous griller en enfer pour ce simple motif, cela accroîtrait inexorablement votre stock de farine humaine en ces temps de vache folle.

 

- N’épiloguons pas, veux tu! Et le péché de chair, as tu commis ce terrible péché?

 

Visiblement mal à l’aise, l’âme d’Augustou ne put qu’avouer:

 

- Aie Seigneur! Celui là, je crois bien l’avoir commis souvent et ..... avec beaucoup de plaisir encore! Mais voyez vous, je pense avoir des circonstances atténuantes. En effet, comme vous devez le savoir, ma parcelle jouxtait celle de la Baptistine. Entre nos deux propriétés n’existait qu’un muret de pierres que j’avais assemblées unes à unes en son temps, avec, tout au bout un piboul (peuplier) qui procurait une ombre bienfaisante. Lorsque nous étions chacun au bout de la rangée de vigne, nous nous réfugions sous l’arbre où nous parlions et puis un jour, on avait rien à se dire alors ...... Je me dois de vous préciser que sans moi, la Baptistine, elle n’aurait pas eu deux beaux garçons, car son mari n’était guère prolifique. Grâce à moi, ils ont eu une famille comme tout le monde et le Mathurin explique à qui veut l’entendre, que ces enfants sont son portrait tout craché, donc....... je n’ai pas fait trop de mal.

 

- Et les autres? Parle moi un peu des autres.

 

- Les autres? Questionna à son tour le prévenu de plus en plus mal à l’aise.

 

- Oui, petit, les autres? Répondit Saint Pierre d’une voix douce et mielleuse.

 

Décidément son interlocuteur connaissait tout sur son passé et il allait falloir jouer serré pour éviter d’être damné.

 

- Voyez vous, Seigneur, là également ce n’était pas de ma faute. J’ai été pendant longtemps conseiller municipal et mes administrées me faisaient mander pour quelques problèmes d’extrêmes urgences et importances que je devais solutionner sur le champ. Et puis, j’ai toujours aimé rendre service...... C’est d’ailleurs dans ces occasions, que j’ai constaté que seules les voies du seigneur sont impénétrables!

 

- Ne blasphème pas malheureux, car cela n’arrange pas du tout ta situation! Parle moi plutôt du péché de gourmandise.

 

(A ce stade du récit nous nous devons de préciser que l’âme d’Augustou était plutôt du genre enveloppé. En effet, notre homme, durant son existence, dépassait allègrement le quintal et était réputé pour son goût de la bonne chère. Or - peu d’études ont été effectuées sur ce point nous nous devons d’en convenir- lorsque l’âme quitte son enveloppe charnelle, elle en conserve néanmoins son apparence d’origine.)

 

Cette question n’arrangeait visiblement pas l’ami Auguste qui essaya de biaiser en répondant:

 

- Oh! Vous savez le plus souvent je me contentais d’un petit mossèc (morceau).

 

- Parle moi donc du dernier banquet de la pétanque?

 

- Je ne crois pas avoir commis le péché auquel vous faites allusion, car c’est Isidore, notre Président qui avait élaboré le menu et les recettes n’étaient point amphigouriques. En entrée, nous avions du foie gras d’oie. Une tranche épaisse et délicieuse de plus de trois centimètres parfumée à l’Armagnac. Ensuite nous avons eu droit à un assortiment de tripou et cambajou maisons bien entendu. Le jambon était comme je l’aime, lardé d’un gras bien rosé. Après s’être rincé la bouche avec une salade batavia, on nous a servi une poularde rôtie, dodue et dorée à point. A l’intérieur de la volaille, les cuisinières avaient mis une farce gradaillée (aillée) réussie à la perfection et tout autour quelques pommes de terre bien mijotées dans le jus. Enfin, elles nous ont servi une crème faite avec douze oeufs et parfumée à la cannelle qui était si bonne que je crois bien que j’en ai repris ....trois fois.

 

- Disons plutôt quatre! Conte moi donc ta passion pour les champignons?

 

- Je n’ai jamais aimé trop les ramasser vous savez, car, compte tenu de ma corpulence, me baisser me posait des problèmes! Mais, j’ai toujours eu grand plaisir à les cuisiner. Tenez par exemple, les couriolettes accompagnent toujours une sauce de veau, les morilles blondes se servent avec un peu de crème fraîche sur un tournedos bien saignant, quant au cèpe je le prépare farci avec un peu de cansalade (petit salé) fumée qui lui octroie un parfum du tonnerre de ....

 

L’âme laissa sa phrase en suspens afin de ne pas commettre une gaffe.

 

- Et le vin petit, il paraît que tu étais un amateur?

 

(A vrai dire, la chose était aisée à deviner, car le divin breuvage avait laissé, du temps de son vivant, de nombreux sillons écarlates sur la figure de notre ami.)

 

- Ah seigneur, j’ai adoré le sang du Christ! J’avais pour lui une passion incommensurable. Quelle que soit sa couleur, du blanc au rouge, il me donnait beaucoup d’ardeur pour mon travail et me régénérait après une intense séance de bigòs (pioche à deux pointes). Je dois quand même vous avouer que parfois, j’ai un peu abusé de carthagène ou de blanquette......

 

- C’est d’ailleurs pour cela que tu es devant moi aujourd’hui! Je me suis laissé dire que tu as pris un coup de sang après un repas trop arrosé. Vraiment, dit-il fronçant les sourcils et élevant la voix, ton cas me paraît très délicat et presque désespéré.

 

L’âme d’Augustou ne put alors s’empêcher de se mettre en colère:

 

- Mais enfin, Nòstre Senher, qui a mis sur cette terre les jolies filles, les poulardes et le bon vin? Si vous désiriez que nous menions une vie monacale, pourquoi nous soumettre sans cesse à la tentation? Nous eussions pu nous contenter de patates bouillies et de pissenlits arrosés d’onde claire..... Je crois sincèrement ne jamais avoir péché durant mon existence mais avoir été, en quelque sorte, en état de .... légitime défense.

 

Croyez le si vous voulez, mais Saint Pierre fut tellement interloqué qu’il en ouvrit tout grand les portes de son établissement.

 

Et c’est ainsi que ce grand mécréant d’Augustou regagna le paradis. Prouvant ainsi qu’en certaines circonstances, la justice divine, comme parfois son homologue humaine, n’est pas exempte de bavures, et que ... la gourmandise n’est pas un si vilain défaut!

 

 

Envie de le lire : à commander directement chez l'auteur (lien ci-dessous). laissez vos coordonnées par mail et votre adresse. En retour je vous donne la mienne pour le règlement ....+ frais d'envoi

jls.sanchez@wanadoo.fr

Idée cadeau pour les fêtes ou pour le plaisir 

Grand un Choix de livres de l'Auteur dédicacé lien ci-dessous

http://auteurs-d-occitanie.over-blog.com/search/Jean-Louis%20Sanchez/

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A André, grand maître de la confrérie du foie gras à Mazéres ancien adhérent d'Occitanie et aujourd'hui disparu ….

Publié le par Evy

 

Le péché de gourmandise

 

A André, grand maître de la confrérie du foie gras à Mazéres ancien adhérent des auteurs d'Occitanie et aujourd'hui disparu ….

Lorsqu’il se présenta aux portes du paradis, l’Augustou n’en menait pas large, d’autant qu’à quelques mètres de là crépitaient les flammes de l’enfer et qu’une forte odeur de roussi venait effleurer ses narines.

 

Saint Pierre l’attendait sur le perron du purgatoire et arborait un air avenant:

- Bonjour manhac (gentil garçon), as tu fait un bon voyage?

- Très bon seigneur, mais ....... vous parlez patois?

- Mais oui, pitchon notre religion rayonne sur toute la planète et je suis obligé de connaître toutes les langues de mes paroissiens. Je parle usuellement le Russe, les dialectes africains ou le Chinois ainsi que le basque, le breton et le catalan.

- C’est stupéfiant! Parlez vous également le Corse?

- Euh ..... le Corse ..... Là, vois tu,........ je ne peux pas te répondre car je suis soumis au secret professionnel! Mais, revenons à nos préoccupations, tu sais que je dois décider de ton avenir et nous devons passer en revue ton existence antérieure pour voir si tu mérites d’atteindre le paradis. As tu commis les sept péchés capitaux?

- Seigneur, je n’ai jamais tué personne, mis à part quelques perdigals (perdreaux) ou lapins forains et encore très peu car j’étais malaisit (maladroit) au fusil.

- As tu volé?

- Oh non, je n’ai jamais pris l’avion!

- As tu volé quelque chose?

- Jamais de ma vie, sauf, peut être, quelques figues ou cerises dans les vergers de mes voisins.

- Je vois, il s’agit de quelques larcins sans importance majeure. As tu souvent menti?

- Vous savez seigneur, mentir dans le midi c’est comme respirer, tout le monde ment du plus petit au plus âgé. Le mensonge nous est aussi nécessaire que l’EPO au coureur cycliste. Dire la vérité serait comme jouer aux cartes sans tricher, quelque chose d’inconcevable!

- Je le sais bien Auguste! J’ai à ce sujet de gros problèmes avec mes pensionnaires originaires du Sud de la Loire.

- Je me mets à votre place, mais vous ne pouvez pas nous envoyer tous griller en enfer pour ce simple motif, cela accroîtrait inexorablement votre stock de farine humaine en ces temps de vache folle.

- N’épiloguons pas, veux tu! Et le péché de chair, as tu commis ce terrible péché?

Visiblement mal à l’aise, l’âme d’Augustou ne put qu’avouer:

- Aie Seigneur! Celui là, je crois bien l’avoir commis souvent et ..... avec beaucoup de plaisir encore! Mais voyez vous, je pense avoir des circonstances atténuantes. En effet, comme vous devez le savoir, ma parcelle jouxtait celle de la Baptistine. Entre nos deux propriétés n’existait qu’un muret de pierres que j’avais assemblées unes à unes en son temps, avec, tout au bout un piboul (peuplier) qui procurait une ombre bienfaisante. Lorsque nous étions chacun au bout de la rangée de vigne, nous nous réfugions sous l’arbre où nous parlions et puis un jour, on avait rien à se dire alors ...... Je me dois de vous préciser que sans moi, la Baptistine, elle n’aurait pas eu deux beaux garçons, car son mari n’était guère prolifique. Grâce à moi, ils ont eu une famille comme tout le monde et le Mathurin explique à qui veut l’entendre, que ces enfants sont son portrait tout craché, donc....... je n’ai pas fait trop de mal.

- Et les autres? Parle moi un peu des autres.

- Les autres? Questionna à son tour le prévenu de plus en plus mal à l’aise.

- Oui, petit, les autres? Répondit Saint Pierre d’une voix douce et mielleuse.

Décidément son interlocuteur connaissait tout sur son passé et il allait falloir jouer serré pour éviter d’être damné.

- Voyez vous, Seigneur, là également ce n’était pas de ma faute. J’ai été pendant longtemps conseiller municipal et mes administrées me faisaient mander pour quelques problèmes d’extrêmes urgences et importances que je devais solutionner sur le champ. Et puis, j’ai toujours aimé rendre service...... C’est d’ailleurs dans ces occasions, que j’ai constaté que seules les voies du seigneur sont impénétrables!

- Ne blasphème pas malheureux, car cela n’arrange pas du tout ta situation! Parle moi plutôt du péché de gourmandise.

(A ce stade du récit nous nous devons de préciser que l’âme d’Augustou était plutôt du genre enveloppé. En effet, notre homme, durant son existence, dépassait allègrement le quintal et était réputé pour son goût de la bonne chère. Or - peu d’études ont été effectuées sur ce point nous nous devons d’en convenir- lorsque l’âme quitte son enveloppe charnelle, elle en conserve néanmoins son apparence d’origine.)

Cette question n’arrangeait visiblement pas l’ami Auguste qui essaya de biaiser en répondant:

- Oh! Vous savez le plus souvent je me contentais d’un petit mossèc (morceau).

- Parle moi donc du dernier banquet de la pétanque?

- Je ne crois pas avoir commis le péché auquel vous faites allusion, car c’est Isidore, notre Président qui avait élaboré le menu et les recettes n’étaient point amphigouriques. En entrée, nous avions du foie gras d’oie. Une tranche épaisse et délicieuse de plus de trois centimètres parfumée à l’Armagnac. Ensuite nous avons eu droit à un assortiment de tripou et cambajou maisons bien entendu. Le jambon était comme je l’aime, lardé d’un gras bien rosé. Après s’être rincé la bouche avec une salade batavia, on nous a servi une poularde rôtie, dodue et dorée à point. A l’intérieur de la volaille, les cuisinières avaient mis une farce gradaillée (aillée) réussie à la perfection et tout autour quelques pommes de terre bien mijotées dans le jus. Enfin, elles nous ont servi une crème faite avec douze oeufs et parfumée à la cannelle qui était si bonne que je crois bien que j’en ai repris ....trois fois.

- Disons plutôt quatre! Conte moi donc ta passion pour les champignons?

- Je n’ai jamais aimé trop les ramasser vous savez, car, compte tenu de ma corpulence, me baisser me posait des problèmes! Mais, j’ai toujours eu grand plaisir à les cuisiner. Tenez par exemple, les couriolettes accompagnent toujours une sauce de veau, les morilles blondes se servent avec un peu de crème fraîche sur un tournedos bien saignant, quant au cèpe je le prépare farci avec un peu de cansalade (petit salé) fumée qui lui octroie un parfum du tonnerre de ....

L’âme laissa sa phrase en suspens afin de ne pas commettre une gaffe.

- Et le vin petit, il paraît que tu étais un amateur?

(A vrai dire, la chose était aisée à deviner, car le divin breuvage avait laissé, du temps de son vivant, de nombreux sillons écarlates sur la figure de notre ami.)

- Ah seigneur, j’ai adoré le sang du Christ! J’avais pour lui une passion incommensurable. Quelle que soit sa couleur, du blanc au rouge, il me donnait beaucoup d’ardeur pour mon travail et me régénérait après une intense séance de bigòs (pioche à deux pointes). Je dois quand même vous avouer que parfois, j’ai un peu abusé de carthagène ou de blanquette......

- C’est d’ailleurs pour cela que tu es devant moi aujourd’hui! Je me suis laissé dire que tu as pris un coup de sang après un repas trop arrosé. Vraiment, dit-il fronçant les sourcils et élevant la voix, ton cas me paraît très délicat et presque désespéré.

L’âme d’Augustou ne put alors s’empêcher de se mettre en colère:

- Mais enfin, Nòstre Senher, qui a mis sur cette terre les jolies filles, les poulardes et le bon vin? Si vous désiriez que nous menions une vie monacale, pourquoi nous soumettre sans cesse à la tentation? Nous eussions pu nous contenter de patates bouillies et de pissenlits arrosés d’onde claire..... Je crois sincèrement ne jamais avoir péché durant mon existence mais avoir été, en quelque sorte, en état de .... légitime défense.

Croyez le si vous voulez, mais Saint Pierre fut tellement interloqué qu’il en ouvrit tout grand les portes de son établissement.

Et c’est ainsi que ce grand mécréant d’Augustou regagna le paradis. Prouvant ainsi qu’en certaines circonstances, la justice divine, comme parfois son homologue humaine, n’est pas exempte de bavures, et que ... la gourmandise n’est pas un si vilain défaut!

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Biographie de Claude Carré...

Publié le par Evy

Biographie de Claude Carré


Je suis un auteur haut normand d’origine mais catalan de cœur depuis toujours. Je suis marié,
père de cinq enfants. Tout nouveau septuagénaire, je vis à plein temps dans les Pyrénées Orientales
depuis près de 30 ans.
 Après des études littéraires et un premier poste de rédacteur dans une compagnie d’assurances,
j’ai été tour à tour représentant puis commerçant, avant d’achever ma carrière professionnelle en
exerçant le beau métier de bouquiniste à Uzès (30) puis à Saint Cyprien(66) . L’écriture de romans
est désormais mon activité principale. A ce jour, j’ai publié quatre romans et je travaille actuellement
sur l’écriture du cinquième.

2016 Chromosome Philadelphie (roman auto biographique familial portant essentiellement sur le
traitement de la leucémie et la greffe de moëlle osseuse ). Editions Secrets Publishing (Paris). Edition
épuisée (plus de 2000 exemplaires vendus)
2018 / 2019 Le canard au sang (saga familiale). Editions Le lys bleu. (Paris) Tirage ultra limité et
presque épuisé.
Tome 1 Les Pygmalionnes
Tome 2 La Malédiction du Château d’Albert
2020 La Petite Plage de l’Horreur (thriller). Un réquisitoire contre les violences faites aux femmes,
à la fois roman policier et romance érotique hors des sentiers battus. Editions Alexandra de Saint
Prix, 66470 Ste Marie La Mer.
Projets en cours pour 2021 /2022 :
Retour des personnages de « La petite plage de l’horreur » dans une nouvelle enquête policière.

Réédition en format poche de mon premier roman « Chromosome Philadelphie » prévue mi
octobre 2021 (augmenté de pages inédites et actualisé ), et de l’intégrale du « Canard au sang » en 1
seul volume prévue pour 2022.

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SALON DU LIVRE COMMUNE DE VAL DU FABY

Publié le


MAIRIE DU VAL DU FABY

29 Avenue de la République, FA

11260 VAL DU FABY

SALON DU LIVRE
COMMUNE DE VAL DU FABY

 

La mairie du Val du Faby, en partenariat avec les Auteurs d’Occitanie, organise son 1er salon du livre le samedi 9 juillet sous la Batteuse à FA.

L’inscription sera gratuite et chaque auteur bénéficiera d’une table d’un minimum de 2 mètres et de 2 chaises. Il y a possibilité de prendre un repas sur place à vos frais.

 

BULLETIN D’INSCRIPTION : Salon de FA du samedi 9 juillet 2022 de 10 h à 18 h (installation dès 9 h). Les inscriptions sont limitées à 30 personnes. Fin des inscriptions le 2 juillet. Si désistement, prévenir 48 h à l’avance.

Merci d’envoyer ce bulletin rempli par mail ou par courrier à sorgesa.alibert.sylvie@orange.fr ou marie.fremont0684@orange.fr ou Mme Sylvie SORGESA ALIBERT 21 rue du mars 11500 QUILLAN. Pour toute précision, vous pouvez contacter également Marie FREMONT, conseillère municipale du VAL DU FABY au 06 72 72 11 94.

 

NOM et prénom du participant : …………………………………………………………………………

Pseudonyme éventuel : ………………………………………………………………………………………

Adresse postale : ……………………………………………………………………………………………….

Téléphone mobile : ………………………………………………………… Téléphone fixe………………………………………….

E-Mail : ………………………………………………………………………………………………….

 

 

Type d’ouvrages présentés :

………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

Je souhaite/ je ne souhaite pas participer au repas prévu ( prix autour de 15 euros. Assiette végétarienne à Fa à 12.50 euros et 15 euros pour une assiette plus complète)

Je m’engage à prendre ……… Repas et à régler le jour du salon.

Je m’engage à respecter le protocole en vigueur et à mettre à disposition sur mon stand du gel hydroalcoolique.

J’autorise et donne mon accord aux organisateurs du salon ainsi qu’aux représentants de la presse à prendre des photos (de mon stand, de moi-même) sans prétendre à des droits à l’image.

Je m’engage à fournir une attestation de responsabilité civile

Je m’engage à prévenir, le plus tôt possible, les organisateurs si toutefois j’ai un contre temps et ne peux venir le jour du salon.

Les organisateurs du salon déclinent toute responsabilité concernant des préjudices (pertes, disparitions, vols ou dégradations des biens de l’exposant).

 

Fait à ………………………………………………………le…………………………………..

 

Signature :

Publié dans Salon du livre

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