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Bonne soirée à tous & toutes...

Publié le par Evy

Moins présente en ce moment je suis en Bretagne chez mon fils je reviens vers vous après le 1er Janvier 2021, je met à jour vos participations cette semaine pas de d'atelier je mettrais vos envoient à jour aussi après ma rentrée  bonne soirée prenez soins de vous ...

 

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Un Joyeux Noël a vous tous & toutes prenez soin de vous...

Publié le par Evy

Publié dans Joyeux Noël

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Merci à Jean pour ce beau commentaire que je partage avec vous tous et toutes...

Publié le par Evy

Merci à Jean pour ce beau commentaire que je partage avec vous tous et toutes...

Je viens de parcourir le site des auteurs d’Occitanie et Catalan. Je suis émerveillé par la diversité des thèmes évoqués. Histoires vécues, romans pour enfants, livres sur l’histoire régionale, romans sur l’Afrique, il y a tout une gamme de choix. Chacun peut trouver parmi ces auteurs un thème qui l’intéresse. Je n’oublie pas non plus que ces auteurs qui éditent en auto édition c’est-à-dire à leur frais, écrivent pour leur plaisir, pour faire passer des messages à travers leurs textes. Parmi tous ces ouvrages, il nous appartient de choisir celui qui correspond à notre attente, à nos envies.

Jean  

 

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Derniers jours avant Noël profitez..grand choix de livres idées Cadeau

Publié le par Evy

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Deuxième Ode à mon Chou ( à la manière de Jacques Prévert …) Jean-Louis Sanchez...

Publié le par Evy

 

 Deuxième Ode à mon Chou

( à la manière de Jacques Prévert …)

 

 

Écrire sur un chou ?

C'est une drôle d'idée !

Écrire sur un chou ?

Je n'y aurai pas pensé !

 

Écrire quand rien ne bouge,

Pour notre ami chou rouge.

Frôler la catastrophe,

Avec le Romanoff.

 

Écrire pour le meilleur,

Qu'est le gentil chou-fleur.

Écrire pour le pire,

Quand ça ne fait pas rire.

 

Décrire à tire d'aile,

Les p'tits choux de Bruxelles.

Décrire ce gros ventru,

Ce bon vieux chou capu.

 

Écrire sur un chou ?

Faut être désemparé !

Écrire sur un chou ?

Je suis éberlué !

 

Écrire sur un chou ?

Il faut être un peu fou !

 

Jean-Louis Sanchez

 

 

Envie de me lire (lien ci-dessous). laissez vos coordonnées par mail et votre adresse. En retour je vous donne la mienne pour le règlement ....+ frais d'envoi

jls.sanchez@wanadoo.fr

Des idées cadeaux pour les fêtes ou pour le plaisir 

Grand un Choix de livres de l'Auteur dédicacé lien ci-dessous

http://auteurs-d-occitanie.over-blog.com/search/Jean-Louis%20Sanchez/

 

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"la mort du blanquetaire" extrait du livre "La vallée du bonheur" Jean-Louis Sanchez

Publié le par Evy

Le péché de gourmandise

 

A André, grand maître de la confrérie du foie gras à Mazéres ancien adhérent des auteurs d'Occitanie et aujourd'hui disparu ….

 

Lorsqu’il se présenta aux portes du paradis, l’Augustou n’en menait pas large, d’autant qu’à quelques mètres de là crépitaient les flammes de l’enfer et qu’une forte odeur de roussi venait effleurer ses narines.

 

Saint Pierre l’attendait sur le perron du purgatoire et arborait un air avenant:

 

- Bonjour manhac (gentil garçon), as tu fait un bon voyage?

 

- Très bon seigneur, mais ....... vous parlez patois?

 

- Mais oui, pitchon notre religion rayonne sur toute la planète et je suis obligé de connaître toutes les langues de mes paroissiens. Je parle usuellement le Russe, les dialectes africains ou le Chinois ainsi que le basque, le breton et le catalan.

 

- C’est stupéfiant! Parlez vous également le Corse?

 

- Euh ..... le Corse ..... Là, vois tu,........ je ne peux pas te répondre car je suis soumis au secret professionnel! Mais, revenons à nos préoccupations, tu sais que je dois décider de ton avenir et nous devons passer en revue ton existence antérieure pour voir si tu mérites d’atteindre le paradis. As tu commis les sept péchés capitaux?

 

- Seigneur, je n’ai jamais tué personne, mis à part quelques perdigals (perdreaux) ou lapins forains et encore très peu car j’étais malaisit (maladroit) au fusil.

 

- As tu volé?

 

- Oh non, je n’ai jamais pris l’avion!

 

- As tu volé quelque chose?

 

- Jamais de ma vie, sauf, peut être, quelques figues ou cerises dans les vergers de mes voisins.

 

- Je vois, il s’agit de quelques larcins sans importance majeure. As tu souvent menti?

 

- Vous savez seigneur, mentir dans le midi c’est comme respirer, tout le monde ment du plus petit au plus âgé. Le mensonge nous est aussi nécessaire que l’EPO au coureur cycliste. Dire la vérité serait comme jouer aux cartes sans tricher, quelque chose d’inconcevable!

 

- Je le sais bien Auguste! J’ai à ce sujet de gros problèmes avec mes pensionnaires originaires du Sud de la Loire.

 

- Je me mets à votre place, mais vous ne pouvez pas nous envoyer tous griller en enfer pour ce simple motif, cela accroîtrait inexorablement votre stock de farine humaine en ces temps de vache folle.

 

- N’épiloguons pas, veux tu! Et le péché de chair, as tu commis ce terrible péché?

 

Visiblement mal à l’aise, l’âme d’Augustou ne put qu’avouer:

 

- Aie Seigneur! Celui là, je crois bien l’avoir commis souvent et ..... avec beaucoup de plaisir encore! Mais voyez vous, je pense avoir des circonstances atténuantes. En effet, comme vous devez le savoir, ma parcelle jouxtait celle de la Baptistine. Entre nos deux propriétés n’existait qu’un muret de pierres que j’avais assemblées unes à unes en son temps, avec, tout au bout un piboul (peuplier) qui procurait une ombre bienfaisante. Lorsque nous étions chacun au bout de la rangée de vigne, nous nous réfugions sous l’arbre où nous parlions et puis un jour, on avait rien à se dire alors ...... Je me dois de vous préciser que sans moi, la Baptistine, elle n’aurait pas eu deux beaux garçons, car son mari n’était guère prolifique. Grâce à moi, ils ont eu une famille comme tout le monde et le Mathurin explique à qui veut l’entendre, que ces enfants sont son portrait tout craché, donc....... je n’ai pas fait trop de mal.

 

- Et les autres? Parle moi un peu des autres.

 

- Les autres? Questionna à son tour le prévenu de plus en plus mal à l’aise.

 

- Oui, petit, les autres? Répondit Saint Pierre d’une voix douce et mielleuse.

 

Décidément son interlocuteur connaissait tout sur son passé et il allait falloir jouer serré pour éviter d’être damné.

 

- Voyez vous, Seigneur, là également ce n’était pas de ma faute. J’ai été pendant longtemps conseiller municipal et mes administrées me faisaient mander pour quelques problèmes d’extrêmes urgences et importances que je devais solutionner sur le champ. Et puis, j’ai toujours aimé rendre service...... C’est d’ailleurs dans ces occasions, que j’ai constaté que seules les voies du seigneur sont impénétrables!

 

- Ne blasphème pas malheureux, car cela n’arrange pas du tout ta situation! Parle moi plutôt du péché de gourmandise.

 

(A ce stade du récit nous nous devons de préciser que l’âme d’Augustou était plutôt du genre enveloppé. En effet, notre homme, durant son existence, dépassait allègrement le quintal et était réputé pour son goût de la bonne chère. Or - peu d’études ont été effectuées sur ce point nous nous devons d’en convenir- lorsque l’âme quitte son enveloppe charnelle, elle en conserve néanmoins son apparence d’origine.)

 

Cette question n’arrangeait visiblement pas l’ami Auguste qui essaya de biaiser en répondant:

 

- Oh! Vous savez le plus souvent je me contentais d’un petit mossèc (morceau).

 

- Parle moi donc du dernier banquet de la pétanque?

 

- Je ne crois pas avoir commis le péché auquel vous faites allusion, car c’est Isidore, notre Président qui avait élaboré le menu et les recettes n’étaient point amphigouriques. En entrée, nous avions du foie gras d’oie. Une tranche épaisse et délicieuse de plus de trois centimètres parfumée à l’Armagnac. Ensuite nous avons eu droit à un assortiment de tripou et cambajou maisons bien entendu. Le jambon était comme je l’aime, lardé d’un gras bien rosé. Après s’être rincé la bouche avec une salade batavia, on nous a servi une poularde rôtie, dodue et dorée à point. A l’intérieur de la volaille, les cuisinières avaient mis une farce gradaillée (aillée) réussie à la perfection et tout autour quelques pommes de terre bien mijotées dans le jus. Enfin, elles nous ont servi une crème faite avec douze oeufs et parfumée à la cannelle qui était si bonne que je crois bien que j’en ai repris ....trois fois.

 

- Disons plutôt quatre! Conte moi donc ta passion pour les champignons?

 

- Je n’ai jamais aimé trop les ramasser vous savez, car, compte tenu de ma corpulence, me baisser me posait des problèmes! Mais, j’ai toujours eu grand plaisir à les cuisiner. Tenez par exemple, les couriolettes accompagnent toujours une sauce de veau, les morilles blondes se servent avec un peu de crème fraîche sur un tournedos bien saignant, quant au cèpe je le prépare farci avec un peu de cansalade (petit salé) fumée qui lui octroie un parfum du tonnerre de ....

 

L’âme laissa sa phrase en suspens afin de ne pas commettre une gaffe.

 

- Et le vin petit, il paraît que tu étais un amateur?

 

(A vrai dire, la chose était aisée à deviner, car le divin breuvage avait laissé, du temps de son vivant, de nombreux sillons écarlates sur la figure de notre ami.)

 

- Ah seigneur, j’ai adoré le sang du Christ! J’avais pour lui une passion incommensurable. Quelle que soit sa couleur, du blanc au rouge, il me donnait beaucoup d’ardeur pour mon travail et me régénérait après une intense séance de bigòs (pioche à deux pointes). Je dois quand même vous avouer que parfois, j’ai un peu abusé de carthagène ou de blanquette......

 

- C’est d’ailleurs pour cela que tu es devant moi aujourd’hui! Je me suis laissé dire que tu as pris un coup de sang après un repas trop arrosé. Vraiment, dit-il fronçant les sourcils et élevant la voix, ton cas me paraît très délicat et presque désespéré.

 

L’âme d’Augustou ne put alors s’empêcher de se mettre en colère:

 

- Mais enfin, Nòstre Senher, qui a mis sur cette terre les jolies filles, les poulardes et le bon vin? Si vous désiriez que nous menions une vie monacale, pourquoi nous soumettre sans cesse à la tentation? Nous eussions pu nous contenter de patates bouillies et de pissenlits arrosés d’onde claire..... Je crois sincèrement ne jamais avoir péché durant mon existence mais avoir été, en quelque sorte, en état de .... légitime défense.

 

Croyez le si vous voulez, mais Saint Pierre fut tellement interloqué qu’il en ouvrit tout grand les portes de son établissement.

 

Et c’est ainsi que ce grand mécréant d’Augustou regagna le paradis. Prouvant ainsi qu’en certaines circonstances, la justice divine, comme parfois son homologue humaine, n’est pas exempte de bavures, et que ... la gourmandise n’est pas un si vilain défaut!

 

 

Envie de le lire : à commander directement chez l'auteur (lien ci-dessous). laissez vos coordonnées par mail et votre adresse. En retour je vous donne la mienne pour le règlement ....+ frais d'envoi

jls.sanchez@wanadoo.fr

Idée cadeau pour les fêtes ou pour le plaisir 

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Atelier d'écriture n°6 : Thème " Noël " Liste des mots ...

Publié le par Evy

Merci Gigi pour le Logo

Merci Gigi pour le Logo

J'organise chaque semaine un défi 

Vous avez le choix dans la liste ci-dessous et la semaine pour le faire 

D'écriture, Poésie, Acrostiches, Citations, texte d'Auteurs, Haïku,  prose etc...

De créa  d'image, de gif, de photo, peinture, dessin, Vidéo, musique Reportage etc...

Ayant pour règle un thème imposé

Où 10 mots

Ouvert du Dimanche au Dimanche  

Vous faites comme ça vous arrange

Même si vous dépassez la semaine

Un grand bravo aux participants 

Cette semaine le thème du 20/12/20 au 27/12/20

C'est " Noël "

--- Les 10 mots

Mémoire, Temps, Illumination, Enfant, Décoration, Sapin, Chant, Joie, Neige, Beauté...

On peut conjuguer , mettre au pluriel ou singulier

et ou féminin , masculin, ou féminin ou masculin..

Atelier d'écriture n°6 : Thème "  Noël " Liste des mots ...

Vos participations 

La participation de Catherine Barcelonne

 

Aujourd’hui , alors  qu’un nouveau Noel s’annonce,

Me reviennent en mémoire la joie et les chants,

Au pied du sapin des cadeaux en quinconce,

Dehors la neige fait le bonheur des enfants,

Dedans, le temps est à l’illumination,

Eblouissante beauté des décorations.

 

Des idées cadeaux pour les fêtes ou pour le plaisir dédicacé

Cliquer sur le lien ci-dessous pour plus de choix

catherine barcelonne - Auteurs Occitans & Catalans (over-blog.com)

Ma participation

 

Noël          

 

Les villages s'animent...                                                                       

Les souvenirs affleurent à ma mémoire ;                                             

La chaleur de la brique au fond du lit.

C'était le temps des rêves et des peurs...les douceurs !

Bonbons et biscuits...

Toutes ces illuminations, les façades des maisons et les rues se parent

de décors, la nuit devient magique.

L'atmosphère de Noël en Alsace est fraîche et cotonneuse;

Les fêtes débutent à la Saint-Nicolas le 6 décembre.

Ce jour-là ! Les enfants reçoivent des chocolats, du pain d'épices, c'est à

cette date que commencent les décorations, dans les rues, et dans les 

maisons; entièrement dédiées à la magie de Noël pendant tout le mois de décembre.

Noël reste la plus grande fête familiales, la crèche sous le sapin. On

confectionne les biscuits de Noël ( les bredeles ) .

À Noël, on reste en famille, grands-parents, parents, oncles et tantes,

cousins, cousines.

C'est une fêtes très religieuses, vers minuit la messe:

Les chants de Noël résonnent du fond de l'église.

C'est une ambiance riche d'émotion, de souvenirs d'enfance et de joie.

On place l'enfant Jésus dans la crèche en revenant.

Je me souviens du père fouettard, si on n'a pas été sage.

Nos jeux de neige, construction d'igloos, glissades, bonhomme de neige.

Les squelettes des arbres jouent avec la neiges:

Le spectacle est de toute beauté;

Lorsque le soleil couchant croise la lune;

Les couleurs se réchauffent de mille feux 

Evelyne Genique

 

 

Un Joyeux Noël à tous & toutes prenez soin de vous ...

 

Publié dans Atelier d'écriture

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Extrait du Roman, Arietta Opus 111 Nicole Bernard Villa...

Publié le par Evy

EXTRAIT du roman ARIETTA OPUS 111
    de N. BERNARD VILLA
 

 

 

L’important en musique, c'est que les mots n'existent pas.

Les réalités ne sont que des images évoquées.

Elles restent en transparence, différentes pour chacun selon ce qu'il peut en saisir.

Par exemple, le mot « amour » n'existe pas.

Tout cela est une émotion, ressentie ou non,  plus ou moins vécue selon votre sensibilité, qui peut vous faire trembler parfois si intensément que vous restez dans le silence d'après avec ce goût âcre au cœur, comme une petite mort.

Mais le mot, c'est autre chose. Le mot, est définitivement fermé sur lui-même.

Il signifie.

Alors la chose commence à exister.

Peut-être est-ce pour cela que les politiques s'entourent de musiciens tandis qu'ils jettent à la rue leurs poètes, à coups de pied au ventre.

Aimer

Il faudrait que je demande à Doubaï quel est le sens de ce mot. Un poète doit pouvoir expliquer cela.

« Doubaï, toi qui es poète, et qui donc sait le sens des mots, est-ce que « aimer » c'est la même chose que « Magdalena » ? »

Il ne rira pas.

Un poète ne rit jamais avec « l'amour ».

Il prendra un stylo, il écrira le mot « amour » et puis des tas d'autres mots autour : il pourra y avoir des grenouilles, des diamants, de la pluie, des soleils explosés, des cailloux noirs, des chemins de forêts... beaucoup de mots-, et puis des phrases où les mots enchâssés formeront une marqueterie  savante.

Puis il relèvera la tête et il me dira: « Voilà. »

Je vais regarder. Ce sera très beau. Je chercherai fébrilement le mot "amour" parmi les grenouilles, les soleils explosés et les cailloux d'onyx.., il n'y sera pas.

Je tendrai  la feuille inutile à Doubaï et je lui dirai avec force :« Où est l' « amour »

Il me regardera alors avec ses grands yeux étonnés, et il me répondra : « Mais… partout. »

 

C’est la dixième chambre d’hôtel ce soir. La même. Une autre.

Je n’ai rien résolu.

Elle est dans ma mémoire et tout cela reste parfaitement absurde.

Mais elle est là.

C’est la seule chose qui compte. 

Une idée cadeau pour les fêtes ou pour le plaisir 

ARIETTA Opus 111  est consultable sur le site de CoolLibri.

(Il est possible de le télécharger en version e-book.)
 

Pour vous procurer ce roman, il suffit d'en faire la demande par mail à

Vous le recevrez avec une petite dédicace et l'adresse de l'auteur pour paiement.
 
 
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Rennes-Le-Château /guide du visiteur Tatiana Kletzky-Pradère

Publié le par Evy

Rennes-Le-Château /guide du visiteur Tatiana Kletzky-Pradère


RCH GUIDES 5 LANGUES 042

RENNES-LE-CHATEAU/guide du visiteur de Tatiana Kletzky-Pradère

 

L’histoire mystérieuse d’un curé de campagne qui, fin IXème siècle, découvrit un secret qui le rendit très riche.

 

Edité en cinq langues : Français – Anglais – Allemand – Espagnol – Italien – 

(Modèle déposé)

 

45 pages.  Photos couleur. Vendu sur le site,  et distribué en librairies.

PP = 6 euros.

 

Envie de lire les livres de Tatiana Kletzky Pradère

Une idée cadeau pour les fêtes dédicacé

Grand choix lien ci-dessous... 

tatiana kletzky paradere - Auteurs Occitans & Catalans (over-blog.com)

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Histoire qui est arrivé à Robert Mondange...

Publié le par Evy

Histoire qui est arrivé à  Robert Mondange...

C’est mon histoire et ça m’est arrivé.

C’était lors de mon premier voyage à Assikoi. Il nous manquait quelques éléments de quincaillerie pour construire les étagères d’une bibliothèque et quelques provisions. Comme je ne suis pas particulièrement bricoleur et que nous travaillons avec des outils manuels, mes amis m’avaient désigné pour aller à Adzopé, avec Martin un jeune du village,  acheter ce qu’il nous fallait. Adzope est une ville située à dix huit kilomètres d’Assikoi. Pour  s’y rendre, il faut prendre le taxi brousse, sorte de mini bus, qui ne part que lorsqu’il est complet et qui emprunte souvent la petite piste qui passe par Adonkoi, un petit village à trois ou quatre kilomètres d’Assikoi. Dans ce cas, le trajet est plus long.

Il n’était pas loin de 17 heures, la nuit allait tomber et nous avions pris place dans le taxi brousse pour Assikoi qui se remplissait peu à peu. Il faisait une chaleur épouvantable mais nous ne pouvions quitter nos places de peur de se les faire prendre. Enfin, le taxi brousse était complet. Mais nous ne partions toujours pas. Tout d’un coup arriva un homme tenant au bout d’une corde ce qui me semblait être un tout petit agneau. Avec trois de ses compagnons, ils le hissèrent dans une cage qui se trouvait fixée sur la galerie. Cage que nous n’avions pas vu car elle était située en bordure de la galerie, mais sur le côté opposé à l’entrée dans le taxi brousse.  Puis, nous sommes enfin partis. Le taxi n’avançait pas très vite, il nous semblait entendre des piétinements au-dessus de nous, peut-être étaient-ils dus à l’animal qui cherchait son équilibre. Puis au fil des kilomètres, nous n'entendons plus rien, il est vrai qu’avec les chocs occasionnés par les trous de la piste, il était difficile de savoir d’où venaient les bruits. Vers dix huit heures, nous arrivions enfin à Adonkoi. Ouf ! Plus que quelques kilomètres et nous allions enfin pouvoir quitter ce véhicule. Nous étions très fatigués, nous n’avions pratiquement rien mangé à midi et nous étions assoiffés car nous n’avions bu qu’une petite bouteille de flag, cette délicieuse bière africaine. De plus, nos pieds étaient coincés entre nos colis. Mais que s'est-il passé ? Le chauffeur et son arpète, c’est-à-dire le jeune garçon qui fait payer les gens et qui est chargé d’ouvrir et de fermer la porte du taxi brousse, levaient les bras au ciel et s’injuriaient mutuellement : la cage qui contenait le porcelet avait disparue. En conséquence, le chauffeur et son arpète devaient payer la cage et l’animal. Aussi prirent t-ils la décision de faire immédiatement demi tour pour essayer de retrouver la cage et l’animal. Tous les passagers protestent en disant qu’ils pouvaient nous amener à Assikoi qui n’était qu’à trois ou quatre kilomètres, puis qu’ils pouvaient repartir et faire des recherches. Mais rien n’y fit. Le chauffeur s’appuyant sur le fait, que si quelqu’un trouvait la cage et l’animal il s'empressera de se l’approprier, d’autre part si la cage s’était ouverte en tombant, l’animal qui pouvait être blessé ne pouvait pas être loin, d’autant plus que s’il essayait de fuir en brousse il n’avait aucune chance de s’en sortir. Il fallait donc retrouver le point de chute au plus vite. C’est ainsi que nous fîmes demi-tour, mais à vitesse très réduite. A l’aide de lampes de poches l’arpète et un passager scrutaient les bords de la piste et la lisière du bois. A l’entrée d’Adzopé, il fallut se rendre à l’évidence la cage et l’animal étaient introuvables. Nous partîmes toujours à vitesse réduite et toujours en scrutant les bords de la piste jusqu’à Adonkoi. Là, il n’y eut aucun doute, la cage et l’animal étaient irrémédiablement perdus. Le taxi brousse nous dépose vers 21 heures à Assikoi. Nos  amis nous accueillent avec  beaucoup de soulagement, ils commençaient à se faire beaucoup de soucis pour nous. Nous leur racontâmes brièvement notre aventure, puis pendant que nous prenions une bonne douche, ils nous firent chauffer notre repas que nous mangions avec une bonne flag bien fraîche. Ce trajet qui en principe ne dure pas plus d’une heure trente avait duré quatre heures. .

Envie de lire l'Auteur Robert Mondange 

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robert mondange - Auteurs Occitans & Catalans (over-blog.com)

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