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24 résultats pour “Hélène Cau

Revue de Presse Thérèse Cau...

Publié le par Evy

Revue de Presse Thérèse Cau...

 

 

 

 

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Article de presse Cau Thérèse

Publié le par Evy

 

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Salon du Livre, du goût et de l’artisanat à Vinça, samedi 21 août 2021 et dimanche 22

Publié le par Evy

Salon du Livre du Goût et de l’artisanat 

à Vinça

 

Samedi 21 août 2021

De 14h à 18h

 

Dimanche 22 août 

De 10h à 18h

 

Complexe sportif du Canigou – Espace Christian Bourquin  66320 Vinça

 

LES ECRIVAINS

 

LEGRAIS Hélène

AYMAR Lucien

BAILLAAYRE Adrien

BARCELONNE Catherine

BAYLET Gérard

BERBARD – VILLA Nicole

BERT Patrick

BONNEL Jean-Pierre

BONNAFOS Laetitia

CARRE Claude

CAU Thérèse

CHEMARIN Caroline

DESEILLE Solange

DUPUIS Éric

FAISANDIER Sylvette

FARINES Brigitte

FORES Jean-Louis

GENIQUE Evelyne

KOUZMIN Pierre

LE DANTEC Monique

MAJDI Hassan 

NADAL Marie-Pierre

NOBECOURT-SEIDEL Régine

ORIOT Pascale

RAYNAUD Guy

SAVARIT Fabienne

SORGESA-ALIBERT Sylvie

VALMERE Breath

MARTIN Salomé

CATHELIN Annie

ORTEGA Julien

LAPEYRE Jean-Philippe

 

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Interview présentation du dernier roman "Pinzutu" Thérèse Cau

Publié le par Evy

Vidéo de présentation de mon dernier roman "Pinzutu", réalisée par le service culturel de la Mairie de Perpignan, pour la sant Jordi. 

Voici le lien pour la visionner:

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Biographie Thérèse Cau

Publié le par Evy

Biographie Thérèse Cau

 

Biographie de Thérèse Cau

 

Née à Port-Vendres le 6 janvier 1948, je vis actuellement à Argelès-sur-mer, dans les Pyrénées-Orientales. J'ai enseigné pendant 37 ans comme professeure d'anglais et, depuis ma retraite en 2010, je me consacre pleinement à l'écriture.

 

 

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Dernier roman "Les vignes de l'espoir" Thérèse Cau

Publié le par Evy

Je présenterai mon dernier roman "Les vignes de l'espoir" le vendredi 3 juin à 14h30 à la Médiathèque du Boulou, au cours des Journées culturelles et républicaines " Dans les pas de la Résistance Espagnole" qui se déroulent au Boulou du 14 mai au 18 juin.
 
Thérèse Cau
 

 

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Ce samedi 11 juin, j'ai dédicacé, jusqu'à plus soif, "Les vignes de l'espoir"

Publié le par Evy

Ce samedi 11 juin, j'ai dédicacé, jusqu'à plus soif, "Les vignes de l'espoir" à la cave colliourencque Piétri-Géraud, un domaine faisant partie du réseau occitan Vinifilles.

Cau Thérèse

 

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Extrait du Roman ( Pinzutu ) Thérèse Cau

Publié le par Evy

Extrait du Roman ( Pinzutu ) Thérèse Cau

Pour votre Valentine, pour votre Valentin,

Avec de belles fleurs, achetez un bouquin.

D’un roman historique, d’amour ou même noir,

 

Nouvelle ou poésie, conte issu du terroir,

Étonnez votre amour en lui offrant un livre.

La lecture et l’amour nous aident à mieux vivre.

Dans son septième roman « Pinzutu », Thérèse Cau aborde, à travers une fiction mi-policière, mi-épistolaire, son vécu d'enseignante continentale à Ajaccio de 1977 à 1987 et elle s'inspire largement de faits et d'événements bien réels.

Juin 1986. Un climat de violence règne en Corse. Les attentats se multiplient contre les Continentaux. Les Insulaires rejettent les « Pinzuti », ces étrangers venus du continent.
Lettres de menaces, appels anonymes, racket et plasticages sont leur lot quotidien.
Dans ce contexte, Bruno Conte, professeur de français, est trouvé flottant entre deux eaux dans un golfe de Corse-du-Sud. Le jeune homme s’y livrait à son loisir préféré : la chasse sous-marine. L’inspecteur principal Jean-Yves Guenel, un Breton récemment affecté au commissariat d’Ajaccio, refuse la thèse de l’accident. Pour élucider cette mort suspecte il parcourt les lettres adressées par la victime à ses parents durant les quatre années de son séjour sur l’île, à la recherche d'un indice. Une plongée en eaux troubles au cœur de la Corse profonde entre règlements de comptes, intérêts mafieux et politiques.

 

1er extrait de « Pinzutu » (enquête):

 

Un peu avant neuf heures, les quatre policiers arpentaient déjà le sentier balisé de cairns et bordé d'asphodèles menant à la pointe du cap, où se dressaient encore les vestiges d'une tour génoise, entre l'anse de Minaccia ourlée de criques sauvages et le golfe de Lava formant un vaste ovale sablonneux. La mer étale se moirait de nuances allant du bleu indigo au vert émeraude, contrastant avec le gris anthracite des rochers. On avait envie de se plonger dans cette eau transparente. Un cadre idéal pour y vivre au plus près de la nature, loin de la fureur de la ville; pour y vivre et peut-être même pour y finir ses vieux jours, mais certes pas pour y mourir en pleine jeunesse! Les policiers franchirent les rubans de sécurité disposés à trois mètres de la falaise, selon les instructions du procureur; l'entrée de l'anse avait également été fermée par un cordon de bouées. Cinq ou six gars de la scientifique, arrivés sur les lieux en bateau, étaient déjà à l’œuvre, prélevant des algues sur les roches et fouillant les moindres recoins des criques. Tous s'affairaient, ayant reçu la consigne de rendre les plages aux vacanciers à partir de midi. L'inspecteur discuta brièvement avec eux, pour ne pas les retarder. Il se fit notamment préciser l'endroit exact où le corps avait été repêché, la direction des courants et il essaya avec ses hommes de déterminer quels avaient pu être les points d'impact du corps sur les rochers. Après avoir examiné avec soin les alentours et ramassé quelques mégots et autres menus objets coincés entre les galets, ils remontèrent. L’œil de Guenel fut alors attiré par les dizaines de petites crottes de bique qui jonchaient le sol, telles des olives noires desséchées, et qui luisaient entre les plantes à fleurs jaunes, sous le soleil maintenant assez haut. 


 

2e extrait de « Pinzutu » (leçon de corse)

 

.É vurtatu hóddie di a mattia = il est revenu aujourd'hui du maquis

Ici, il est probablement fait allusion à un élément du folklore corse: le bandit, ou «seigneur du palais vert»; tel est du moins le surnom que j'ai lu dans un article retraçant la vie et les forfaits de François B., le dernier bandit corse qui avait écumé la région avec un comparse, mais qui n'avait écopé que de 5 ans de prison, et qui vient de mourir paisiblement dans son lit. 

. Ci suó dui ommi; dammi u fucile = il y a deux hommes; donne-moi le fusil.

Drôle d'accueil, qui montre bien la méfiance générale. Apparemment, le fusil ne sert pas que pour la chasse aux merles et aux sangliers! Pierre, un syndicaliste du SNES, m'a narré un rituel bien ancré dans les mœurs locales, à savoir tirer des salves en l'air pour saluer les événements les plus divers: matches de football, processions, funérailles - surtout de nationalistes d'ailleurs, fêtes profanes ou même religieuses, élections gagnées. Le coup de fusil remplacerait ici le jaillissement du champagne coutumier sur les podiums des Grands Prix automobiles! Glissons prudemment sur le symbole! 

Cette tradition, m'a-t-on dit, a été respectée l'an dernier, à l'annonce de la victoire de Mitterrand; elle s'est ajoutée au concert de klaxons dans les rues. Les passagers des voitures roulant sur le cours Napoléon tirant des coups en l'air, au risque d'abattre des riverains penchés à leur balcon: peut-on imaginer une scène identique sur le continent?  

 

L'écriture est pour elle à la fois une passion et une thérapie. Pour vous procurer ses livres, contactez-la par courriel à cette adresse: cau.therese@wanadoo.fr  

Hélène Cau - Auteurs Occitans & Catalans (over-blog.com)

Publié dans Extrait du Roman

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Couverture du 8e roman : "Les vignes de l'espoir". Thérèse Cau

Publié le par Evy

 Couverture du 8e roman : "Les vignes de l'espoir".

Sujet : Comment 3 femmes, privées de leurs maris à cause de la guerre (2e guerre mondiale pour l'une, guerre civile espagnole pour les deux autres) réussissent à survivre en chaussant les bottes de leurs époux absents et en travaillant leurs vignes.

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Dédicace " samedi 19 février à la salle Carrère d'Argelès, au cours des commémorations de FFREEE.

Publié le par Evy

Thérèse Cau

Thérèse Cau dédicace son dernier roman : "Les vignes de l'espoir" (Cap Béar éditions), qui porte un regard féminin sur la guerre, l'après-midi du samedi 19 février à la salle Carrère d'Argelès, au cours des commémorations de FFREEE.

Le thème : La Port-Vendraise Amédine est veuve depuis que son mari est mort au combat en 1940. Le mari de la Catalane Teresa a dû s'exiler en France en février 1939, celui de la Castillane Maria a été condamné à mort par les Franquistes. Ces trois femmes, au lieu de se décourager, vont retrousser leurs manches et se lancer dans le travail de la vigne pour nourrir leurs enfants. Mais la vigne est aussi pour elles l’occasion de s’émanciper.
 

 

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