« Triptyque des Solitudes » trois pièces de théâtre, reliées par un bandeau Nicole Bernard Villa
Cet ouvrage est composé en trois parties :
** UNE NUIT SANS SOLEIL Nouvelles littéraires.
quand la vie soudain se décale
sans que l’on n’y comprenne rien,
comme la métaphore incongrue
d’une réalité perdue dans le non-sens
** PETITS POEMES AUTOUR D’UN AMOUR NON IDENTIFIE
Mettre des mots sur ce qui n’existe pas, sur cette envie irrésistible d’aimer qui n’est rien, sur un désir à jamais perdu dans un rêve inachevé…
** ASYMPTOTES Nouvelles théâtrales
dialogues de sourds
qui ne se rejoindront jamais,
paradoxes des solitudes
engluées dans des amours inutiles,
asymptotes de désirs avortés
dans l’impossible quête d’aimer
Retours de lecture…
« Je viens de lire avec un très grand plaisir les Nouvelles littéraires et théâtrales de « La Confiture.. »… au milieu de beaucoup de très beaux textes, je sortirai « Vintimille », « Les enfants », « Non Merci » et toutes les Asymptotes. Bravo ! »
« La Confiture de Vieux Garçon est un livre enrichissant tant par sa diversité des thèmes que par son écriture limpide et puissante. Je l'ai lu avec beaucoup de plaisir. Très bon moment en commençant par ces nouvelles littéraires si différentes qui nous imposent tellement d'émotions et de sentiments secrets. Ma préférée est ELLE ... mais j'ai aussi beaucoup aimé NON MERCI et VINTIMILLE.
Bravo pour les Poèmes d'Amour : un pur bonheur.
Les petites pièces de Théâtre sont originales, bien rythmées et riches. Je souhaite qu'un jour elles puissent être jouées sur scène !
A l'image de la vraie "Confiture de vieux garçon ", ça fait du bien ! Merci . » M. N.
TRIPTYQUE DES SOLITUDES
Auteur : Nicole BERNARD VILLA
Genre : théâtre
« Triptyque des Solitudes » trois pièces de théâtre, reliées par un bandeau
4ème de couverture Bandeau
La Solitude quand l’autre est parti, que l’espoir s’amenuise au fil des dimanches à l’arrivée du 19h17, que la Fille ferme le kiosque à journaux, que le Jeune devrait aller prendre le bus… quand le Vieux repart à pied dans la longue nuit d’hiver qui n’a plus de fin…
La Solitude quand il ne reste qu’elle devant l’inexorable tragédie qu’il faudra vivre, qu’il ne reste plus que quelques heures, qu’il faut décider de ce que sera ce temps juste avant de disparaître sans mémoire, qu’il n’y a plus personne pour aider personne… quand l’inacceptable est déjà la mort…
La Solitude quand elle est devenue l’essence même de la vie, quand on n’a plus de corps, plus d’âme… qu’elle a grignoté tout l’espoir…
La Solitude
Quand on n’attend plus personne,
Quand on n’a plus envie d’aimer, Quand il n’y a plus rien
Que soi
4ème de couverture ** 19h17 LE DIMANCHE
Un hall de gare l’hiver dans une lointaine banlieue de la capitale.
Tous les dimanches depuis si longtemps un vieil homme va acheter le journal au kiosque que tient la même fille depuis presque dix ans. Puis il va s’asseoir sur l’unique banc de bois pour lire en attendant l’arrivée du 19h17, le dernier train en provenance de Paris.
Il n’y a jamais personne qui descend du train pour lui…
Un homme plus jeune arrive à son tour et va directement s’asseoir à côté de lui pour attendre le même train, comme chaque dimanche depuis deux ans.
Il n’y a jamais personne qui descend du train pour lui…
C’est l’heure où la fille du kiosque ferme sa boutique.
Elle n’attend jamais personne au 19h17 le dimanche soir…
4ème de couverture ** LA POUPEE DE CHIFFON
Deux ou trois heures avant la bombe annoncée…
Une bombe qui anéantira tout ce qui est vivant.
Partir, aller dans un abri, mourir, accepter l’anéantissement général sans rien lâcher de ce que l’on est…encore.
Vivre ces quelques heures avec la conscience précise de ce qui va arriver, quand tous les mots sont vidés de leur sens devant l’échéance définitive.
Que reste-t-il de l’intelligence, de la force, du pouvoir quand la peur absolue s’installe ? Que reste-t-il de chacun d’entre nous qui nous pensions tellement intelligent, tellement fort, tellement important…Que reste-t-il de l’amour… ?Que reste-t-il de l’innocence de la Petite… ?
4ème de couverture ** DOUBLES OU QUITTE
ELLE a cinquante ans, ELLE est commissaire de police,
ELLE a réussi,
ELLE a de l’argent,
ELLE est libre, indépendante, célibataire…
ELLE n’est plus vraiment jeune,
ELLE a un métier d’homme,
ELLE a une médaille,
ELLE n’a besoin de rien,
ELLE est seule…
Et puis il y a L’AUTRE,
Et puis il y a LUI,
et ils pourraient s’aimer LUI et L’AUTRE si ELLE ne voulait pas tout le temps les tuer…
Et pourquoi les tuer puisqu’ils n’existent pas… ?
Comme on tue le temps, l’amour ou le bonheur qui n’existent pas non plus…
Cet ouvrage « Triptyque des Solitudes » a fait l’objet d’une première édition en octobre 2020.
Pour vous procurer , il suffit d'en faire la demande par mail à nicole.bernard.villa@gmail.com