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33 résultats pour “catherine Barcelonne

Arts & Littérature en Catalogne : Vicenç Pagès Jordà, traduit par Marie COSTA - Michel Cadé Chapeaux et bonnets révolutionnaires en Roussillon

Publié le par leblogabonnel

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Atelier de Novembre " Quel est le dernier livre que vous avez lu ?

Publié le par Evy

Atelier  de Novembre "  Quel est le dernier livre que vous avez lu ?

Défi ouvert à tous

Pour occuper vos journées

 Du 01/11/20 au 30/11/20

Vous faites comme ça vous arrange

Même si vous dépassez je mets à jour régulièrement

Quel est le dernier livre que vous avez lu ?

Parler de

--- Vos lectures

--- Livre qui vous à marqué

--- Qu'en pensez- vous ???

Vos participations

La participation de catherine Pitat ( Cathou Quivy)

La participation de catherine Pitat ( Cathou Quivy)

La participation de catherine Pitat ( Cathou Quivy)
 
le dernier livre que je viens de lire est "le monde n'existe pas " de Fabrice Humbert publié chez Gallimard édité en janvier  2020
Lorsque Adam Vollmann, journaliste au New Yorker, voit s’afficher un soir sur les écrans de Times Square le portrait d’un homme recherché de tous, il le reconnaît aussitôt : il s’agit d’Ethan Shaw. Le bel Ethan, qui vingt ans auparavant était la star du lycée et son seul ami, est accusé d’avoir violé et tué une jeune Mexicaine. Refusant de croire à sa culpabilité, Adam retourne à Drysden, où se sont connus, pour mener l’enquête. Mais à mesure qu’il se confronte au passé, toutes ses certitudes vacillent…
Roman haletant et réflexion virtuose sur la puissance du récit, Le monde n’existe pas interroge jusqu’au vertige une société aveuglée par le mensonge, où réalité et fiction ne font qu’un.
Un suspens qui nous fait douter de la réalité de ce que nous vivons ou plutôt de la réalité du monde où nous vivons ! Et si tout n'était que mensonge ? Si nos sociétés ne sont que fiction ?
J'ai beaucoup aimé et c'est très bien écrit

Publié dans Atelier de lecture

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Bureau des AOC...

Publié le par Evy

Chers amis auteurs,
 
Pierre Kouzmin présentera le salon de Vinça dimanche 15 août sur les ondes de France Bleue Roussillon à 9h10.
Ensuite, il y aura un article mercredi 18 août dans le journal "La semaine du Roussillon" et un autre article dans le quotidien "L'Indépendant", un jour de la semaine prochaine.
 
Un grand merci à Pierre, à Catherine, à Jean-Pierre et à quelques membres de l'association qui se dépensent, et dépensent, sans compter, pour organiser des salons dans un contexte difficile, trouver des dates et apporter des informations.
 
Je rappelle que tous ces membres sont bénévoles et œuvrent dans l'intérêt de tous. 
Une aide ponctuelle serait parfois bienvenue de la part d'autres membres qui en auraient la possibilité. 
 
Les bénévoles actifs ne demandent rien, si ce n'est un brin de reconnaissance qui se caractériserait par des remerciements pour leurs actions, et surtout quand on les sollicite pour un service personnel (ce qui ne semble pas évident pour certains membres) ; éventuellement par un salut amical sur les salons de la part des membres qui bénéficient de leur travail, plutôt que d'être ignorés par eux.
 
Nous souhaitons à tous de bons salons malgré les conditions contraignantes.
Amitiés.
 
Pour le bureau des AOC,
Bernard Cazeaux 
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Le 4ème Salon du livre aura lieu dimanche 12 septembre à l' Abbaye de St Polycarpe

Publié le par Evy

 

Le 4ème Salon du livre aura lieu dimanche 12 septembre à l' Abbaye de St Polycarpe, aux portes de Limoux 11. (Avec les règles sanitaires en vigueur)
Dans le cadre d’exception de l'Abbaye chargé de pierres, d'Histoire et de traditions aura lieu la quatrième rencontre avec des écrivains de notre région pour une journée de dédicaces.
Des écrivains, des maisons d'édition, stands de bouquinistes...
En partenariat avec Aude Culture, Pyrénées F.M ,la presse locale, le journal le Limouxin, le Lions Club International la sémillante, les Éditions ACALA, Sydney Laurent...
Possibilité de restauration sur place au jardin avec paella.
Une belle journée de rencontres en perspective. 

Auteurs qui sont présent AOC & Catalans

Sylvie Sorgesa

Gérard Baylet

Bernard Cazeaux

Sylvette Faisandier

Catherine Quivy

Tatiana Kletzky Pradère

Evelyne Genique

Robert Mondange

 

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Bibliographie Thérèse Cau...

Publié le par Evy

Bibliographie  Thérèse Cau...

Avec de belles fleurs, achetez un bouquin.

D’un roman historique, d’amour ou même noir,

 

Nouvelle ou poésie, conte issu du terroir,

Étonnez votre amour en lui offrant un livre.

La lecture et l’amour nous aident à mieux vivre.

Bibliographie  Thérèse Cau...

Biliographie de Thérèse Cau

 

 

Mon tout premier roman «L'album de l'exil», publié en 2014, traite de la guerre civile espagnole, une guerre qui m'a beaucoup affectée, étant fille et petite-fille de Républicains espagnols réfugiés en France. J'y raconte simultanément l'histoire de ma famille et celle du 4e Président catalan, Josep Tarradellas, au service duquel ma mère était entrée en 1934 et qui joua un rôle clef pour la Catalogne, puisqu'il réussit à rétablir le gouvernement autonome à Barcelone après la mort de Franco. Ce livre, j'ai tenu également à le traduire en catalan, ma langue maternelle sous le titre de «La filla de la Terra Alta a cals Tarradellas» (2019). 

 


 

En 2018, avec: «Ils voulaient fusiller la liberté», je suis revenue sur le thème de la guerre civile pour dénoncer les exactions franquistes commises dans la décennie de l'après-guerre, à travers l'histoire authentique de Pepe, le maire républicain d'un village de la Mancha, emprisonné et condamné à mort, mais qui réussit à sauver sa peau en sautant du camion, sur le chemin du cimetière où il devait être fusillé.

 

 

J'ai également écrit quatre romans policiers, où je me plais à mélanger les genres, ainsi que fiction et réalité. Au premier plan, se déroulent l'enquête policière et la recherche des meurtriers, mais au second plan, je raconte parallèlement une autre histoire: 

        -  dans «Saints de glace au Racou» (2015), celle de ce village de sable menacé par les tempêtes et l'érosion de sa plage depuis la construction de Port Argelès, tandis que des gendarmes enquêtent sur la mort d'un étranger tombé au pied d'une falaise

- dans «Mala sort» (2016), la vie forestière et les traditions dans le haut Vallespir, derrière le meurtre d'un bûcheron laurentin

 

 

- dans «Un port de déesse» (2017), l'arrivée massive des pieds-noirs à Port-Vendres après l'indépendance de l'Algérie, ainsi que les profonds bouleversements dans le port de commerce et le vieux port, où un pêcheur local est trouvé noyé

- dans «Pinzutu» (publié 2020), à travers la mort d'un professeur de français trouvé flottant entre deux eaux au nord d'Ajaccio, le climat de violence régnant en Corse dans les années 80 et les difficultés des Continentaux venus y travailler, face aux menaces et intimidations en tout genre.

 

 

L'écriture est pour moi à la fois une passion et une thérapie. Pour vous procurer mes livres, contactez-moi par courriel à cette adresse: cau.therese@wanadoo.fr

 

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Voici un petit texte tel qu'il a paru ce matin dimanche dans la Dépêche d'Ariège ....

Publié le par Evy

Voici un petit texte tel qu'il a paru ce matin dimanche dans la Dépêche d'Ariège ....

Journal d’une confinée de Catherine Pitat

non d'auteur Cathou Quivy

Je ne vais pas ré-écrire un papier sur ma façon de vivre ce re-confinement enfermée dans une maison du centre-ville sans jardin ni terrasse ni le moindre balcon ; je l’ai déjà fait ! Ni même vous parler des subterfuges mis en place pour contrer le manque d’activité physique et, ce qui est pire pour moi, l’absence de contact avec mes semblables même si j’use et j’abuse du téléphone et d’internet !

J’ai donc commencé à puiser dans mes souvenirs. L’avantage c’est qu’à mon âge des souvenirs on commence à en avoir pas mal ; leur exploration peut donc durer un paquet de temps ! Un vrai trésor en somme...que personne ne me chipera !

Souvenirs donc …J’ai eu la chance, quand j’étais petite fille, de côtoyer de très près, ma grand-mère paternelle que l’on appelait « Mamycha » un joli surnom dont j’ignore l’origine. Veuve, elle passait tous les étés avec nous. Une femme adorable, aimante, qui aimait raconter des histoires, et nous tricoter des pulls qui grattaient. Elle réalisait d’excellentes pâtisseries qu’elle sucrait avec de la cassonade brune. Par ailleurs, elle nous concoctait de drôles de soupes au goût et à la texture indéfinissables, avec tous les petits restes qu’elle glanait dans le frigo. Car elle répugnait à les jeter ou même à les donner aux poules ! Avec un gros morceau de beurre et des croûtons de pain qu’elle faisait frire à la poêle, ma foi ça se mangeait ; de toute façon mes deux sœurs et moi n’avions pas le choix : je suis d’une époque où les enfants avaient obligation de terminer tout ce qu’on nous mettait dans notre assiette. Et sans pouvoir protester !

Cette gentille grand-mère avait l’habitude d’inventer des mots (peut être que le dictionnaire ne lui suffisait pas) Ainsi les moutons, ces sortes de petits amas de poussière qui naissent sous les lits ; s’appelaient chez elle, des « nounouches » ne me demandez pas pourquoi, je le sais pas. De même ; elle désignait sa boite à chocolat en porcelaine ; « le poisson » tout simplement parce que la poignée du couvercle représentait une espèce d’anguille, mais je ne suis incapable d’expliquer pourquoi les ours en peluche chez elle, étaient toujours des « chuchus ». J’ai fait perdurer cet usage car lorsque mes petits enfants ont commencé à prendre l’habitude de dormir chez moi ; j’ai acheté dans un vide-grenier un ours en peluche qui me faisait assurément de l’œil pour que je l’adopte. Je l’ai soigneusement lavé avant de le mettre dans leur chambre. Il s’appelle « Chuchu » bien évidemment. Il est vite devenu le gardien de leur sommeil. Et quand les échos de ce monde qui devient fou et qui perd toute espèce de raison, se font trop pressants, je pense à ce temps de mon enfance, où un chuchu nous gardait de tout cauchemar où notre grand-mère nous chantait une comptine pour nous endormir. Je crois que ce soir, je vais inviter Chuchu sous ma couette...

Catherine Pitat

 

 
 
 
 
Zone contenant les pièces jointes
 
 
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Thérèse Cau auteur en pays catalan

Publié le par Evy

Livres de Thérèse Cau

Mon tout premier roman «L'album de l'exil», publié en 2014, traite de la guerre civile espagnole, une guerre qui m'a beaucoup affectée, étant fille et petite-fille de Républicains espagnols réfugiés en France. J'y raconte simultanément l'histoire de ma famille et celle du 4e Président catalan, Josep Tarradellas, au service duquel ma mère était entrée en 1934 et qui joua un rôle clef pour la Catalogne, puisqu'il réussit à rétablir le gouvernement autonome à Barcelone après la mort de Franco. Ce livre, j'ai tenu également à le traduire en catalan, ma langue maternelle sous le titre de «La filla de la Terra Alta a cals Tarradellas» (2019).

 

 

 

 

 

En 2018, avec: «Ils voulaient fusiller la liberté», je suis revenue sur le thème de la guerre civile pour dénoncer les exactions franquistes commises dans la décennie de l'après-guerre, à travers l'histoire authentique de Pepe, le maire républicain d'un village de la Mancha, emprisonné et condamné à mort, mais qui réussit à sauver sa peau en sautant du camion, sur le chemin du cimetière où il devait être fusillé.

 

 

 

J'ai également écrit quatre romans policiers, où je me plais à mélanger les genres, ainsi que fiction et réalité. Au premier plan, se déroulent l'enquête policière et la recherche des meurtriers, mais au second plan, je raconte parallèlement une autre histoire:

- dans «Saints de glace au Racou» (2015), celle de ce village de sable menacé par les tempêtes depuis la construction de Port Argelès, à cause de l'érosion de sa plage, tandis que des gendarmes enquêtent sur la mort d'un étranger tombé au pied d'une falaise

- dans «Mala sort» (2016), la vie forestière et les traditions dans le haut Vallespir, derrière le meurtre d'un bûcheron laurentin

 

 

 

 

 

 

- dans «Un port de déesse» (2017), l'arrivée massive des pieds-noirs à Port-Vendres après l'indépendance de l'Algérie, ainsi que les profonds bouleversements dans le port de commerce et le vieux port, où un pêcheur local est trouvé noyé

- dans «Pinzutu» (2020), à travers la mort d'un professeur de français trouvé flottant entre deux eaux au nord d'Ajaccio, le climat de violence régnant en Corse dans les années 80 et les difficultés des Continentaux venus y travailler, face aux menaces et intimidations en tout genre.

 

 

 

 

 

 

L'écriture est pour moi à la fois une passion et une thérapie. Pour vous procurer mes livres, contactez-moi par courriel à cette adresse: cau.therese@wanadoo.fr

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Je n'ai rien inventé je trouve ces coïncidences extra de plus il habite à Aix en Provence non loin où habite ma fille et son mari ...

Publié le par Evy

La grande famille des écrivains 

L’autre jour en écoutant France Inter, j’ai entendu parler l’écrivain et journaliste Vincent Quivy. Évidemment, son nom a fait tilt à mes oreilles. Quivy c’est le nom de mon père que j’ai pris comme nom d’autrice. Mes parents ont eu 3 filles et, par ailleurs mon père n’ayant qu’une sœur et qu’un oncle moine dans la communauté de la belle Abbaye de St-Wandrille en Normandie ; c’est donc naturellement que le patronyme, Quivy (un nom originaire du Nord de la France) est en train de disparaître. Quand j’ai pu publier mon premier livre, j’ai choisi « Quivy » comme pseudonyme, estimant que l’existence de ce patronyme perdurerait tant qu’il y aurait quelques-uns de mes bouquins rangés dans une bibliothèque ! Quivy donc…évidemment j’ai cherché sur Internet. J’ai trouvé ceci : Journaliste et historien, Vincent Quivy est l'auteur de plusieurs ouvrages parmi lesquels « L'Impossible Monsieur Borloo », « Abus de pouvoir »,« Des anciens de l'OAS racontent », « Chers élus. Ce qu'ils gagnent vraiment », « La Justice sous Sarkozy », « Jean-Louis Trintignant- L’inconformiste » publiés chez Seuil. Très bien tout ça mais la question que j’avais envie de lui poser était celle-ci : Sommes-nous cousins ? 

Je l’ai trouvé sur FaceBook et je le lui ai demandé : « C’est possible m’a-t-il répondu parce que je suis né à Lille ( mes propres parents et grands parents étaient de Tourcoing!) mon grand-père s’appelait Léopold. »  je lui rétorquais « mais moi c’est le prénom de mon arrière grand-père ! »  en même temps il peut y avoir un décalage de génération puisqu’il est né en 1967 et moi en 1950 et il peut y avoir plusieurs Léopold Quivy les prénoms se transmettant souvent de père en fils…Bon il faudrait remonter plus loin en arrière …

Mais savez-vous ce qu’il m’écrit : « je connais votre nom puisque ma sœur s’appelle comme vous c’est-à-dire Catherine Quivy et que surtout elle est institutrice et que je lui ai offert votre livre « Jeanne de la Périgouse » Alors là, stupéfaction …Du coup ; je ne lui ai même pas demandé comment et où il avait vu et trouvé mon livre …mais nous restons en communication ...

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Le 12 septembre, l'Abbaye de Saint Polycarpe, aux portes de Limoux...

Publié le par Evy

Le 4ème Salon du livre aura lieu dimanche 12 septembre jour de la saint Apollinaire à l' Abbaye de St Polycarpe, aux portes de Limoux 11.

Dans le cadre d’exception de l'Abbaye chargé de pierres, d'Histoire et de traditions aura lieu la quatrième rencontre avec des écrivains de notre région pour une journée de dédicaces.
Nous accueillerons l'auteure Cathy QUIVY
- « La croqueuse de mots » recueil de nouvelles dont le fil rouge est l’amour des mots ; l’utilisation et la compréhension donc l’usage que l’on peut en faire.
- « Jeanne de la Périgouse » un récit biographique écrit sur la demande de Jeanne une vieille institutrice qui vit toujours en Lozère et qui voulait témoigner des conditions de vie en 1939 quand elle a remplacé l’instituteur parti à la guerre. Elle vivait et travaillait dans une école à classe unique sur le Causse Méjean au milieu d’un paysage sublime mais totalement désert. Elle a mis 2 ans à écrire cette histoire de vie ; allant voir la vielle dame fréquemment pour l’interroger et recueillir son témoignage.
- « Ne me lâche pas la main » qui est l’histoire de l’accueil à partir de 1978/79 d’une trentaine de familles réfugiées Hmong Laotiens, en sud Lozère. Ils fuyaient les exactions du parti au pouvoir à leur encontre. Les Hmong possèdent une culture très ancienne et originale totalement orale. Aujourd’hui plus de 40 ans après elle est restée très amie avec certaines de ces familles au point qu’ils lui ont donné un nom Hmong et qu’on continue à se voir et à se recevoir très régulièrement. Ce livre est illustré et traduit en Hmong
- « Potins de rue » est un petit recueil de nouvelles né du choc des situations : habiter dans un hameau d’une quinzaine d’âmes en pleine campagne où seuls les hululements des chouettes, le chant des rossignols ou les appels des chevreuils nous réveillaient les nuits d’été et emménager en plein centre ancien d’une ville , est pour le moins étonnant déroutant voire stressant.
- « Trois destins » est un livre largement inspiré de son histoire familiale.
Dernier recueil :
 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Sylvie Sorgesa, Véronic Isabel Via et 2 autres personnes
 
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Atelier de Lecture...Quel est le dernier livre que vous avez lu ?

Publié le par Evy

Atelier de Lecture...Quel est le dernier livre que vous avez lu ?

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Quel est le dernier livre que vous avez lu ?

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Donc je vais parler de

 Les enfants sont rois » le dernier livre de Delphine De Vigan (qu’on ne présente plus)  publié chez Gallimard. A travers les destinées de deux femmes, l’autrice explore les dérives d’une époque où l’on vit que pour être vus à travers les site des influenceuses ou des réseaux sociaux. Mélanie Claux filment ses deux enfants les mets en scène commentent leurs activités leurs habitudes alimentaires leurs façon de s’habiller à longueur de journée pour poster de petites vidéos. Elle gagne ainsi beaucoup d’argent grâce aux marques que ses enfants présentent. Delphine De Vigan a longuement enquêté avant d’écrire son livre, elle y décrit un monde ou tout se vend jusqu’à l’intimité de chacun et au bonheur familial ! A lire !

 

 

 Le 2eme livre que je viens de refermer sur un goût d’amertume est « Le silence des esprits » de Wilfried N’Sondé publié chez Actes Sud. Né à Brazzaville en 1968, émigré en France à l’âge de 5 ans, il y fait de brillantes études : licence en Sorbonne puis maîtrise de sciences politiques à l’université de Nanterre. Wilfried N’sondé, chanteur et compositeur de la scène berlinoise qui a grandi dans un quartier populaire de la banlieue parisienne, est un nouvel arrivant dans la littérature urbaine et francophone plus généralement. Le résumé de ce livre  ? Clovis Nzila, émigré clandestin sans ressources ni abri, a sauté dans le wagon pour échapper à un contrôle de police. Il s’installe sur une banquette en face de Christelle, aide-soignante qui rentre du tra­vail, triste et fatiguée. Il suffit d’un échange de regards pour que l’un et l’autre se reconnaissent dans leur solitude, leur fragilité. Elle lui tend la main et lui propose de l’héberger pour la nuit. Je ne vous dévoilerais pas la fin : c’est un vrai coup de poing une interrogation sans réponse ….et pourtant ! Je ne vous cache pas que ce livre est assez violent mais c’est un vrai coup de cœur pour moi !

Catherine Pitat

 

Publié dans Atelier de lecture

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