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Concours de nouvelles sur le covid 19 Cathou Quivy

Publié le par Evy

Voilà la page d'intro : 

Textes lauréats du concours “Écrire sous la dictée du coronavirus” organisé par l'Association Livre Voyageur et les Éditions Stellamaris – France en partenariat avec les Éditions Véritas – Cameroun au profit de l'Association" Livre Voyageur"(1)
1 Les droits d'auteur de l'ouvrage seront intégralement reversés à cette association.
 
 
Voici les 2 premières pages de mon texte :
 
Vous avez dit confinement ? Cathou Quivy 
 
1ère semaine : s’habituer…
 
"J’habite, avec mon mari une maison située en plein dans le vieux centre d’une petite ville de 18 000 habitants. Notre habitation est certes confortable et grande, mais elle a l’inconvénient de ne posséder aucun jardin, aucune cour, aucune terrasse ni le moindre petit balcon, ce qui, en temps d’épidémie et surtout d’enfermement, est un vrai handicap ; vous en conviendrez ! J’en viens à jalouser les gens qui possèdent un vaste jardin et qui expliquent, avec force détails, tous les agréments qu’ils en tirent… j’ai juste envie de me boucher les oreilles ! Confinement donc ! Presque total… il nous faut trouver des occupations ! Outre les parties de scrabble, de cartes ou de dés que je partage avec mon mari, je range, je trie, je classe, j’ordonne, je sélectionne, je fais des piles de ce que je donnerais plus tard à Emmaüs ou que j’irais porter à la déchetterie. J’ai oublié d’expliquer que notre maison est construite sur cinq étages et que, même si je suis du genre ordonnée, voire organisée, il y a de quoi faire… J’ai commencé par les placards de la cuisine et j’ai pris le temps de les vider, afin de répertorier ce que j’y ai trouvé pour faire l’inventaire de nos réserves de nourriture, au cas où… J’envie les ours et les marmottes qui ont le pouvoir de se confiner pour l’hiver sans manger !  Puis, j’ai grimpé un étage et j’ai attaqué le classement de ma bibliothèque qui, je dois l’avouer, n’avance pas très vite, car je suis incapable de saisir un livre sans l’ouvrir ! Étant accro à la lecture, ouvrir un bouquin c’est, pour moi, inévitablement commencer à le lire ! Après tout, ce confinement qui semble vouloir s’allonger me donnera l’occasion de redécouvrir ceux que j’avais oubliés… Ma seule angoisse est le risque de me retrouver sans rien avoir à lire, car mes pourvoyeurs habituels de manuels sont aussi en quarantaine… et je refuse tout net de commander, par Internet de surcroît, quoique ce soit, chez A… qui torpille, sans état d’âme, nos petites librairies… Autre étage, autres occupations : la couture ! J’ai d’abord trié mes bobines de fils, j’ai ouvert les boîtes à boutons pour les ranger par couleur, et les mettre dans des boîtes différentes, j’ai déplié les morceaux de tissu que j’avais en réserve, j’en ai sélectionné certains, et j’ai commencé à fabriquer des masques pour nous protéger du coronavirus ! Seul hic ; les infos concernant ces masques en coton faits maison ; sont contradictoires et je n’ai pas toujours pas compris s’ils sont efficaces ou non ! Ma foi, faute de mieux, mon mari les utilisera dans le petit atelier de menuiserie qu’il a installé au rez-de-chaussée de la maison mais qu’il ne fréquente plus pour le moment, faute de matière première, les magasins de bricolage étant aussi confinés, donc fermés ! Il me reste encore deux étages à explorer avant la fin du confinement. Je suis sûre que la salle d’eau avec la pharmacie a besoin d’un vrai rangement et d’un bon ménage de printemps… J’ai aussi sorti toutes les serviettes et les gants de toilette pour connaître leur état d’usure et décider du remplacement de certaines pièces, quand les magasins ré-ouvriront. En attendant j’ai refait plusieurs piles, la première étant constituée des serviettes les moins usées et la dernière regroupant celles qui me serviront de chiffons. Occupation inintéressante au possible mais qui donne un goût, somme toute, réjouissant, du travail terminé !"
 
et les noms des auteus qui ont participé !
Rues et trotoirs – Nouhad Abou Samra, Liban/France/Suisse................. 11
Vous avez dit confinnement ? – Cathou Quivy, France ........................... 22
Le Pendant et l’Après – Pierre-Michel Sivadier, France...........................39
Extraits du confinement – Pierre-Michel Sivadier, France......................40
The reign of consternation – Wanyu Ernest Nyamkoh, Cameroun .......50
Le règne de la consternation – Wanyu Ernest Nyamkoh, Cameroun......51
Quand vint Corona Virus-19… Mathe Kisughu, République Démocratique du Congo..........72
Prévenir vaut mieux que guérir Makembe Makembe Karl Ferdinand Jephté, Cameroun .........79
Jour après jour – Constant Saha, Cameroun ............................................87
Corona war Makembe Mouandjo Emmanuelle Kelly Roxanne, Cameroun ....99
 
 
Une belle aventure 🙂 je suis contente d'y avoir participée
 
 
 
 
 
 
 

 

Publié dans Concours, Cathou Quivy

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Pour votre Valentine, pour votre Valentin...

Publié le par Evy

Pour votre Valentine, pour votre Valentin...

Pour votre Valentine, pour votre Valentin,

Avec de belles fleurs, achetez un bouquin.

D’un roman historique, d’amour ou même noir,

Nouvelle ou poésie, conte issu du terroir,

Étonnez votre amour en lui offrant un livre.

La lecture et l’amour nous aident à mieux vivre.

 

Grand choix :   ci-dessous 

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Roman Du Terroir Patrice Salerno...

Publié le par Evy

Roman Du Terroir Patrice Salerno...

Patrice SALERNO

Romans historique

- L’Héritier d’Occitanie – Editions TDO – 2017

- La Terre Privilégiée – Editions TDO – 2018

- Les raisons de la colère – Autoédition – 2020

 

patrice salerno - Auteurs Occitans & Catalans (over-blog.com)

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Bibliographie Patrice Salerno...

Publié le par Evy

Bibliographie Patrice Salerno...

 

Romans historique

- L’Héritier d’Occitanie – Editions TDO – 2017
- La Terre Privilégiée – Editions TDO – 2018
- Les raisons de la colère – Autoédition – 2020

 

Recueil poétique

- Entre l’ivoire et la corne – Autoédition - 2019

 

Envie de le lire c'est ici 

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ROUGE OCEAN – Marie-P. NADAL 5ème partie

Publié le par Evy

ROUGE OCEAN – Marie-P. NADAL 5ème partie
ROUGE OCEAN – Marie-P. NADAL 5ème partie

ROUGE OCEAN – Marie-P. NADAL

L’œuvre est protégée par le droit d’auteur et a fait l’objet d’un dépôt auprès de Copyright-France.

Crédit photos : LH K-rine

Episode 5

Le commandant eut une lueur d’espoir. Il reprit son sang-froid. 

— Je vais faire venir le médecin. 

— Il y a combien de lits à l’infirmerie ? demanda ironiquement le lieutenant.

— Quatre je crois, répondit naïvement le chef de bord.

— Je plaisantais commandant, mais, entre nous, je pense qu’il va falloir trouver un endroit un peu plus grand et froid, si vous me comprenez.

— Eh bien, il y a la chambre froide, où nous entreposons les vivres. Ce sera loin d’être glamour si on y entasse des cadavres. Mais la morgue fera l’affaire, il me semble. 

Ce fut au tour du commandant de bord de s’amuser du jeune policier. 

— Vous avez votre propre boîte à refroidis ? mazette ! quel luxe ! s’étonna le jeune homme.

— Le terme est un peu singulier, mais exact. Oui. Hélas, nous ne sommes pas un endroit épargné par la mort, il arrive des accidents, la preuve ! je vais avertir notre médecin, pour sa première croisière parmi nous, on peut dire qu’il est gâté ! il ne s’attendait pas à ça !

— Personne, Roy. Bon. Il va falloir penser aux passagers. Quand leurs tables vont se vider, il va y avoir des questions et un vent de panique si elles restent sans réponse. 

— Vous êtes bien pessimiste lieutenant. Il ne va tout de même pas tuer tout le monde avant qu’on arrive à Porto Rico !

— Ah mais on ne va pas à Porto Rico, commandant. On fait demi-tour voyons ! la croisière est terminée, nous sommes sur le Titanic version Stephen King ! arrêtez de vous croire sur la croisière s’amuse ! quelque chose me dit qu’elle va pas rigoler plus que ça !

Le commandant était totalement dépassé. Après réflexion, il clôtura la conversation.  

— Nous ne pouvons faire demi-tour, vous allez enquêter, trouver le meurtrier et nous le débarquerons à Porto Rico. 

— La croisière va durer sept jours, nous en sommes déjà à deux morts. Nul besoin de s’appeler Pascal pour faire le compte. 

— Nous ferons escale comme prévu à Nassau, dans deux jours. Nous verrons à ce moment-là.

— Nous verrons quoi !? cria le lieutenant. Vous espérez qu’il quitte le navire et parte chasser ailleurs ? vous fuitez de la cafetière Roy ! nous sommes sa réserve à sex-toys pour ses orgasmes criminels, il va profiter comme jamais !  Mais c’est vous le patron après-tout ! 

Le policier en colère passa devant son hôte et se dirigea vers la porte d’un pas pressé.

— Où allez-vous ? s’enquit Roy. 

— Chercher mon arme. Je vais en avoir besoin à ce qu’il semble. 

Avant de sortir, il fit volte-face. 

— Sans vous commander, il me faudrait la liste des passagers, avec leur profession si possible, leur place à table et l’endroit où ils crèchent à bord. Dans un premier temps, ceux qui occupaient les tables des deux morts. J’espère que vous trouverez l’identité de celui-là. Je veux savoir qui ils sont. Peut-être ont-ils un rapport, un ami commun qui aurait mal digéré une drôlerie. Dans ce cas, les meurtres s’arrêteront là, mais j’en doute. Vous pouvez faire ça ? 

— Bien évidemment ! c’est Halona qui a ces renseignements. Nous sommes loin d’être au complet, c’est une période creuse, mais il y a quand même près de cinq cents passagers !

— On est pas sortis du rafiot ! il nous faudrait aussi un lieu, un PC où se retrouver pour faire le point. 

— Ici si vous voulez. 

— Ça marche. Mais…faites enlever ce pauvre type, il jure avec le décor.

Tout un panel de sentiments négatifs phagocytait le visage du commandant. Il était empreint de lassitude, d’incertitude et surtout, de terreur.

Scott le remarqua et tenta de radoucir l’ambiance. 

— Roy, relax !! Halona sera un atout pour nous, elle est la plus proche des passagers, elle sera d’une grande utilité. Ne vous inquiétez pas, je la collerai comme un morpion à une moquette. Il est trop sûr de lui ce fumier, c’est ce qui va le perdre ok ? 

Le commandant afficha finalement un sourire. 

La légèreté semblait avoir refait surface chez le jeune officier de police. Ce n’était qu’une apparence.  

 

 

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ROUGE OCEAN – Marie-P. NADAL 4ème partie

Publié le par Evy

ROUGE OCEAN – Marie-P. NADAL  4ème partie

ROUGE OCEAN – Marie-P. NADAL

L’œuvre est protégée par le droit d’auteur et a fait l’objet d’un dépôt auprès de Copyright-France.

Crédit photos: LH K-rine

Episode 4

Le commandant devint plus blanc qu’un drapeau de reddition.

C’est lui, à présent, qui entraîne le jeune Scott à l’écart de la salle à manger.

— Venez avec moi ! s’écria-t-il, nous allons dans mon bureau. 

Les deux hommes parcoururent les nombreuses coursives jusqu’aux quartiers du commandant, jouxtant son bureau.

La porte de ce dernier était entrouverte, ce qui étonna le propriétaire du lieu. 

— Je ne me souviens pas l’avoir laissée ouverte, je n’étais pas si pressé que ça d’aller dîner.

Scott passa devant sans rien dire, et s’avança lentement. 

Il poussa délicatement la porte, pour découvrir, assis sur le fauteuil et affalé sur le bureau, un homme visiblement … mort. 

Scott accourut auprès de lui, vérifiant son pouls.

Le commandant le suivit, lâchant un cri de stupeur.

— Oh seigneur ! il est ??

— Cané ! lança le lieutenant.

L’officier de bord ouvrit une bouche de laquelle aucun son ne put s’échapper. Toutefois, après quelques secondes : 

— Vous êtes certain ? et c’est un meurtre ?

— Commandant, si j’en crois le couteau planté entre ses omoplates et à moins que ce type fût un contorsionniste à la ramasse, on peut affirmer que oui, on l’a tué.

Le new-yorkais se moquait à peine du pauvre homme, totalement dépassé, qui n’était pas vraiment coutumier des frasques meurtrières, contrairement à lui, qui les connaissait si bien.  

— Ça fait deux en une soirée !

— Bien compté ! lança le jeune homme, et vous savez quoi ? 

— Je vous écoute.

— J’espère que vous aurez assez de vos dix doigts, parce que quelque chose me dit que nous partageons la croisière avec un tueur en série. Ces mecs prennent rarement des vacances. Et comme pas grand monde ne sautera pour nager vers les côtes portoricaines, cette croisière va devenir un vrai buffet naviguant. 

Le commandant, à la limite de l’apoplexie, s’appuya sur un meuble proche, baissant la tête comme sous un fardeau trop lourd.

Scott reprit son sérieux et devint plus amical au regard de ce qui s’annonçait. Il s’approcha de l’officier et posa la main sur son épaule. 

— Roy, Roy, il faut appeler les secours, les gardes côtes, ce que vous voulez, pour éviter un carnage.

Le commandant se redressa et fit face au lieutenant. 

— Scott. Je me demandais si vous ne pourriez pas enquêter sur mon navire. Je vous le demande comme service. On ne peut pas rester sans rien faire et j’avoue que je ne connais rien quant au déroulement d’une enquête criminelle. Je suis perdu.

Le jeune homme ne fut pas surpris. Cependant, il n’avait pas autorité en dehors de New-York et dût refuser la sollicitation, à regret. 

— Je regrette, je ne suis pas du FBI, et on n’est même plus dans les eaux territoriales. Je ne peux pas vous aider. 

- Nous sommes sur un navire privé, lieutenant. Ici, je suis souverain et je peux donner le pouvoir à qui je veux. J’ai besoin de vous.

Le policier réfléchit. Il était là pour se détendre et profiter d’une semaine de calme. En aucun cas pour commencer une investigation sur une probable série de meurtres. Son regard se posa à nouveau sur le cadavre. Il se dit qu’il n’était pas flic par hasard. Il aimait son métier. Il l’avait choisi pour servir son prochain. La devise de la police américaine n’était-elle pas « Servir et Protéger » ? Le crime ne connaît pas de frontières, mais la justice non plus. Il prit sa décision. 

— Très bien. Si vous en prenez la responsabilité, je veux bien vous aider. Il faudra faire exactement ce que je vous dirai. J’ai ma propre manière d’enquêter, je vous demanderai de ne pas être étonné, tout ce que je vais faire sera bien considéré. Pas très orthodoxe, mais bien pesé.

— Pas de problème, je vous suis.

Le commandant tendit la main pour sceller cet accord. 

— On va le chopper ! lança le lieutenant. 

La soirée continuait ses festivités dans la salle à manger. Les passagers goûtent à des instants heureux, sans se douter de ce qu’il se passait. Nul ne savait ce que présageait la belle balade. 

À part un.

 

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Retours de Lectures Marie Ader ...

Publié le par Evy

Retours de Lectures Marie Ader ...


 

Commentaires des lectrices et lecteurs

 

J. V. (juillet 2020)

Je viens de finir ton roman. C’est facile et agréable à lire. C’est tout toi ! On retrouve ton côté humaniste où la bonne volonté de chacun doit faire boule de neige et permettre d’améliorer le monde. Dire que tu as même réussi à glisser les échanges scolaires franco-allemands !!!!
Tu devrais le proposer à la télé c’est tout à fait le style de « Meurtre à.... »

 

T. O. (juillet 2020)

J’ai terminé ma lecture, laissant tomber les autres livres entamés car je me suis laissée prendre bien sûr par l’intrigue, l’enquête, ses rebondissements et autres surprises ! Il y a des passages qui pour moi rappelaient ce que je connais de ta vie réelle, et bien sûr j’ai apprécié le petit couplet de défense de l’enseignement de l’allemand au passage ! Moi qui ne connais rien à cette agriculture fruitière, sinon le pommier qui est sous ma fenêtre et que le spécialiste taille tous les ans (enfin je suppose qu'il s’y connaît !!!), j’ai découvert pas mal de choses sur ces récoltes et les différentes étapes à respecter etc...

Le nombre de personnages m’a parfois dérouté car je ne m’y retrouvais pas toujours dans les prénoms. Et j’ai retrouvé le côté féministe dans le personnage de l’enquêtrice, beaucoup de femmes fortes d’ailleurs dans ce livre !



 

U.S. (juillet 2020 – Allemagne)

Félicitations encore une fois !

La lecture de La parcelle du sang m'a fait très plaisir.

Indépendamment du fait que j'aime toujours lire en français, j'ai trouvé la langue soignée, le style élégant, le ton cultivé, plein d'esprit, même et surtout dans les nombreux dialogues. 

Ce sont des Français traditionnels qui parlent là, le genre de personnes que j'ai toujours aimées et appréciées ...

Il y a évidemment du suspense dans ce roman, c'est indispensable pour un polar, et il augmente encore considérablement vers la fin.

 Ce que j'ai aimé en plus :

- La description de la région - la Corrèze, la ville de Brive - à ne pas oublier les spécialités de la région ! Cela me rappelle mes multiples séjours dans ces lieux. Même le lycée Georges Cabanis est mentionné ! 

- Puis la description d'une enseignante modèle dévouée - Mme Czeremcha-Bélinier - qui, à côté de son travail normal exécuté consciencieusement organise aussi des voyages avec ses élèves, y rencontrant pas mal de problèmes qui accentuent la lourde responsabilité qu'elle porte. Là, tu puises dans ton expérience personnelle, Marie !

 Le village de Corzerac n'existe sûrement pas, mais je pense que tu as dû prendre exemple sur un village existant réellement.

 

M. M. (17.08.2020)

Un très bon point pour ton intrigue qui se déroule en Corrèze. J’apprécie les policiers qui ont un goût de terroir, cela amène toujours de l’authenticité à l’histoire. Petit bémol cependant (mais cela est totalement personnel et n’engage que moi), j’ai trouvé qu’il y avait trop de descriptions sur la technique de cueillette des pommes. 

J’ai bien aimé ta capitaine. Elle est intelligente et a de la personnalité, et j’aurais souhaité en apprendre plus sur sa vie professionnelle et personnelle. Elle aurait (peut-être ?) mérité d’être plus mise en avant. Les femmes flics à des postes de commandement sont trop rares dans les romans policiers.  As-tu prévu pour elle d’autres aventures ?

 

F. A. (6.09.2020)
Très prenant, on voit la façon dont tu nous fais tirer la langue en ajoutant des descriptifs sur la culture des pommes, ou l’Allemagne pour la fille ! Les personnages prennent bien, vraiment sympa et pas moyen de voir qui est l’assassin jusqu’à assez tard.

 

F. A. (6.09.2020)

Très prenant, on voit la façon dont tu nous fais tirer la langue en ajoutant des descriptifs sur la culture des pommes, ou l’Allemagne pour la fille ! Les personnages prennent bien, vraiment sympa et pas moyen de voir qui est l’assassin jusqu’à assez tard.

 

S. K. (22.01.2021 - Allemagne)

Bonsoir Mme Ader 😉Je viens de finir la lecture de ton livre. Terminé en deux après-midis. J‘ai adoré 😀👍🍾Bravo. Décor attirant et palpable, détails bien choisis, intrigue très passionnante, personnages bien dessinés. Je me sentais sur place. Toutes mes félicitations ! J‘aurais aimé continuer... Hâte de lire le prochain 😀

 

M. E. (22.01.2021)

Je viens de terminer ton ouvrage. J'ai passé un agréable moment dans ces vergers corréziens que tu as dépeints avec un talent narratif certain. L'intrigue est bien menée et le dénouement inattendu. Bravo et à bientôt 👍👍 

 

 

Marie Le Guyader

24, avenue Général De Gaulle

66400 – Céret

leguyadermarie@gmail.com

2020 : roman policier ‘La parcelle du sang’

ISBN – 979-10-699-5510-3

Prix : 18 € - en vente à Céret (Librairie Le Cheval dans l’arbre, Maison de la presse) et en commande par mail à l’auteure.

 

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Ne manquez pas l'enregistrement radio " Rue des Arts sur le site Rcf Pays d'Aude "

Publié le par Evy

Marie-Andrée Balbastre reçoit, toutes les deux semaines, des artistes audois : chanteur, sculpteur, peintre, écrivain.... le spectre est large !

 
Ne manquez pas l'enregistrement radio avec Bernard Cazeaux 
pour écouter les deux émissions  les dates.
 
l'émission passera la semaine prochaine :
Mercredi 3 Février à 11h30 et samedi 6 Février à 9h30
Le lien ci-dessous
 
Rue des Arts sur le site RCF Pays d'Aude :
 

 

 

 

 

Publié dans Enregistrement radio

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Revues de Presse Marie Ader

Publié le par Evy

Revues de Presse Marie Ader


Marie Ader avec dans ses mains son premier ouvrage lors de la fête du livre.

Revues de presse

 

L’Indépendant – 27.09.2020

Céret : un premier roman pour Marie Ader

 

Pour son premier roman "La parcelle du sang", l’auteur fait voyager le lecteur en Corrèze. 

C’est l’histoire d’un meurtre qui se passe dans un verger près de Brive-la-Gaillarde, dans la parcelle du sang, selon le nom donné à cette partie de l’exploitation. Une femme, réputée dans sa profession, la capitaine Aline Bélars, va enquêter dans l’entourage de la victime et découvrir petit à petit à quel point sa vie est imbriquée de multiples façons dans le petit village de Corrèze où elle habite. Du coup, pour l’enquêtrice, il y a de nombreux suspects potentiels. Qui est l’auteur.e du crime ? 

 

Marie Ader écrit là son premier roman policier. Habitante de Céret, d’abord de 1990 à 1996, lorsqu’elle enseignait au lycée Déodat de Séverac et depuis 2016, à l’heure de sa retraite, elle a toujours été passionnée par les romans policiers. Alors pourquoi ne pas transformer sa passion en action : écrire à son tour une histoire criminelle, dans un décor qu’elle connaît bien, les vergers de Corrèze. A vous de découvrir cette enquête classique écrite dans un style simple et littéraire qu’elle a eu l’occasion de présenter aux visiteurs et visiteuses de la Fête du livre et des éditeurs le 6 septembre dernier à Céret…

Le roman est en vente à la librairie Le Cheval dans l’arbre et à la Maison de la presse de Céret.

(Prix : 18 €)

 

Bulletin de l’ADEAF (Association pour le développement de l’enseignement de l’allemand en France)

 

Octobre 2020


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Biographie Marie Ader ...

Publié le par Evy

Biographie Marie Ader ...


Marie Ader avec dans ses mains son premier ouvrage lors de la fête du livre.

Biographie de l’auteure

 

Après un baccalauréat littéraire, Marie Ader travaille dans différents secteurs et reprend des études universitaires à Nantes, sa ville natale. Quelques années plus tard, elle devient professeure d’allemand, enseigne d’abord à Paris (pendant une année), puis dans les Pyrénées- Orientales pendant une dizaine d’années, à Perpignan (pendant 3 ans), et à Céret (pendant 6 ans). Puis elle est nommée en Corrèze, où, entre Egletons (pendant 3 ans), Brive et ses environs (pendant 16 ans), elle se consacre avec passion à l’enseignement de l’allemand du primaire à la classe préparatoire.  C’est au lycée Georges Cabanis, à Brive, qu’elle effectue la plus grande partie de sa carrière.

Marie Ader est mariée, mère de trois enfants et vit aujourd’hui avec son mari, également auteur, à Céret, dans les Pyrénées-Orientales.

 

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