Pour faire vivre la Littérature Régionale. Française sur d’autres pays, 74 Auteurs a ce jour : de fictions, Romanciers, Poètes, Auteurs de Théâtre, Terroir et Traditions, Patrimoine, Histoire, Jeunesse, Évènements... la création et l’interprétation de spectacles vivants (chanson, jeu dramatique, conte...) (Livre sur l'afrique Robert Mondange une bibliothèque pour Assikoi, Assikoi le secret de la tombe, l’enfant d’Assikoi et la mangouste et mémoire d’un tirailleur d’Assikoi sous le titre d’auteur Les Amis du Pays d’Assikoi.)
Sylvie Alibert-Sorgesa vient d'éditer son premier ouvrage intitulé «La Légende du bracelet d'argent» ! Originaire de Toulouse, Sylvie découvre la ville de Quillan en 1987 lorsqu'elle vient assister à un match de rugby au stade Jean-Bourrel en compagnie d'une amie. C'est là qu'elle rencontre Christophe, rugbyman local, avec qui elle se marie en 1994. De leur union naîtra une charmante jeune fille prénommée Astrid, qui est aussi le prénom de l'héroïne du livre. Professeur des écoles à Campagne-sur-Aude depuis 1997, habituée des lettres, Sylvie concrétise enfin son rêve. «Depuis longtemps j'avais envie d'écrire une histoire. Oui, écrire une histoire que j'aurais aimé lire dans ces livres de contes, ces romans pour enfants où notre imagination a libre cours. Comme je ne l'avais, hélas ! toujours pas trouvée, je l'ai créée jour après jours et voilà enfin celle que j'ai tant cherchée», explique Sylvie. «La Légende du bracelet d'argent» est l'histoire d'Astrid, professeur d'Histoire à l'université d'Aberdeen, élevée par sa grand-mère, belle jeune femme vivant pleinement sa passion pour les légendes celtes qui ont bercé son enfance : «Un soir, elle se retrouve projetée dans un monde parallèle où elle doit accomplir une périlleuse mission. Va-t-elle arriver à rompre le sortilège qui frappe le royaume d'Alloway et délivrer de son maléfice le prince Roderick… L'aventure commence», précise Sylvie, et de conclure : «Prochainement, arrivera la suite de ce premier roman qui est en cours d'achèvement. Je remercie l'écrivain Gérard Baylet, de Lapradelle-Puilaurens, pour son aide précieuse».
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Au marché de Quillan, le samedi matin sur La Promenade (Photo Olga Bell)
L’auteure est née en 1931 à Toulouse d’un père russe - la ville de ces ancêtres, KLETZKAÏA, existe depuis 1614 non loin de Volgograd - la Stalingrad de triste mémoire -, et d’une mère ukrainienne d’une grande famille de Kharkov.
Le nom de son mari, PRADERE, signifie « prairie »en langage pyrénéen.
Il s’agit de sa biographie. Imaginez une petite fille de quatre ans arrivant à l’école du village sans rien connaître du français, sinon « Merci monsieur ! » et « Bonjour Madame !». Découvrez avec étonnement ce que le destin avait prévu pour elle dans ses tablettes.
A partir d’images prises par le célèbre photographe Robert Doisneau, vous saurez tout sur la technique de fabrication du Formica, ce stratifié qui révolutionna la vie domestique des français dans l’après-guerre.
Par l’installation de la plus grosse presse du monde en 1970 sous la direction d’André Pradère, les usines, uniques en France et première d’Europe, employaient mille personnes et produisaient un million de m2 de panneaux par mois.
Pendant un-demi siècle, elles apportèrent la prospérité à la Haute-Vallée de l’Aude, et donnèrent à la ville de QUILLAN le titre glorieux de Capitale Française du FORMICA.
Dimanche 03 Juillet 1949, trois cars brinquebalants amènent des étudiantes de 4ème année commerciale depuis Toulouse jusqu’à Canet-en-Roussillon. Pensionnaires durant les années noires, pas une n’a encore vu la mer.
Vous serez passionné par l’Histoire et les légendes narrées tout au long du trajet par leur « Surgé », native et érudite des superbes contrées traversées.
Cet ouvrage est un hymne à la nature et à la vie de famille. Il est le préféré de Tatiana. Le meilleur compliment qu’elle ait reçu à sa parution, fut celui d’un jeune homme condamné à vivre attaché sur un fauteuil roulant : « Merci Madame Pradère de m’avoir permis de camper avec vous au bord du Lac du Laurenti ! Quelles merveilleuses vacances vous m’avez offert… !».
A travers le récit de Polia, la mère de l’auteure – qui vécut 20 ans chez elle -, vous ne resterez pas insensible à l’histoire authentique de son grand amour, détruit en 1917 par la folie des hommes. Vous vivrez au jour le jour avec les siens dans ce pays blanc où hurlaient les loups et glissaient les troïkas.
Au Salon international du Livre de Paris, durant sept années, elle rencontrera le grand Henri Troyat, que leur condition d’enfants d’immigrés russes avait rapprochés. De lui elle appendra tout ce qu’il faut savoir pour réussir un livre. Ce qu’elle vous dévoile ici.
Devenue, sur ses conseils, lecteur-correcteur de manuscrits dit « en extérieur » pour les Maisons d’Edition, elle continue dans cette voie sur les textes de ses semblables. Il suffit de lui en faire la demande d’après ses coordonnées figurant sur le bon de commande ci-dessous.
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Passionnée depuis l’âge de 10 ans par la lecture en découvrant l’œuvre de René Barjavel, et plonge dans ces univers « autres » avec Tolkien, Asimov, R Hobb, M Zimmer-Bradley, D Eddings, M.Moorcock, mais aussi R Merle, B Werber, G Orwell, T Goodking, S Meyer, HG Wells et bien d’autres.
Ce docteur en chirurgie dentaire dans les Pyrénées orientales est opérée de l’épaule droite en 2010. Inactive pendant six mois, elle s’aventure dans l’écriture avec l’idée d’écrire une histoire pour ses enfants. Depuis, cette pratique s’est transformée en moment nécessaire après les journées de travail. En 2017 elle est lauréate du Prix du récit Fantasy 2016 avec sa nouvelle « Pince-moi » et publiée aux éditions « Fantasy Editions ». En 2018, elle crée son blog catherinebarcelonne-over.blog.com. Son roman de SF ITURIA est édité par Mondes Futuristes courant avril 2020. Et sa nouvelle 389 est intégrée dans l’anthologie « Nouvelles ères » parue chez Livr’S Editions en mai.
2016 : ma nouvelle fantasy « Pince-moi » est primée et éditée dans l’anthologie « L’ailleurs est ici, les rituels, aux éditions Fantasy éditions.
2020 ma nouvelle SF « 389 » est primée et éditée dans l’anthologie « Nouvelles ères » aux éditions Livr’s éditions.
2020 mon roman de SF « Ituria, le passage » est édité aux éditions Mondes futuristes.
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Dans la vie, on est toujours le héros ou le salaud de quelqu’un. En cette seconde moitié du XIXe siècle, au cœur de la forêt de Gascogne, un petit village et son château abritent les secrets de vies bouleversées par des rencontres, par l’amour, par la mort. Aussi par les choix effectués en cherchant à conjuguer élans du cœur et ambitions personnelles, jusque dans de lointaines contrées en guerre. Mais le destin se heurte souvent aux codes d’une société rude et patriarcale, aux ragots et au poids du regard des autres ? Outre le courage et la volonté, au travers des personnages s’expriment, et parfois s’opposent, les trois formes de l’amour : Éros, l’amour passion, Philia, l’amour amitié, Agapé, l’amour du prochain.
Le voyage d’Arthur et autres contes
Cet ouvrage est un recueil de textes poétiques pour enfants.
Le conte aborde le sujet de la nature et de sa préservation. Un jeune enfant, Arthur, effectue un voyage onirique dans lequel il va vivre des aventures et rencontrer une jeune fille qui a échappé à l’emprise d’un sorcier.
Les autres poèmes traitent de la nature, la lecture, la musique, les animaux…
En avant avec joie. Capitaine Adrien Moulis, beau chef de guerre
Officier de légende chez les Tirailleurs Marocains, Adrien Moulis a mené une vie de baroudeur hors du commun qui a vu un simple soldat, engagé volontaire en 1935, arriver au grade de capitaine couvert de blessures et de décorations après 27 années de combats.
Mais la vie d’un militaire, fût-elle glorieuse, ne se résume pas aux actes qui la jalonnent. Elle est aussi le fruit de rencontres. La plus importante pour lui fut celle de Micheline Allène en 1959, qui allait rapidement devenir son épouse et la mère de ses quatre enfants.
Ce livre retrace une partie de l’histoire de trois familles aux destins croisés : les Moulis, au travers de l’épopée d’Adrien ; les Allènes et les Muteau, que les choix enthousiastes de leurs ancêtres au tempérament de pionnier ont amené à vivre des évènements douloureux comme le déracinement de leur pays natal, l’Algérie, terre d’élection du patriarche François Allène en 1841, un lozérien d’origine arrivé avec les troupes du général Bugeaud.
Ce livre est également un hommage aux soldats français et à ceux d’Afrique du Nord, notamment les Tirailleurs Marocains.
Saga Fantasy en six volumes : MALTHEAS
Maltheas (6 tomes)
Le Kandora est un empire subitement confronté à un complot aux nombreuses et surprenantes ramifications, où se rejoignent les manipulations politiques et les intérêts personnels. Pour le combattre, les personnages de cette épopée, dont le héros Malthéas, se livrent autant à la quête d’un artefact ancien, symbole du pouvoir d’une ancienne lignée de rois, qu’à la quête de leur propre identité.
Dans cette saga qui mêle intrigues, action, combats et amour, des personnages attachants et complexes côtoient ou affrontent tout ce que compte l’humanité dans ce qu’elle a de meilleur et de pire. Chaque chapitre est le théâtre d’évènements, de rebondissements et de révélations.
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Le cœur a ses raisons que la raison ignore. La haine et la folie ignorent la raison. Alors des cœurs flétris, où gisent les passions, lentement germeront la vengeance et la mort.
Entre Italie, Suisse et France, l’histoire sur un peu plus d’un siècle de deux clans opposés, confrontés un jour au mal incarné.
Devant l’ascension de Mussolini, la « famille » Cercoli quitta sa Campanie natale et l’Italie en 1923. La « famille » Camparoni profita de la situation.
Soutenu par son épouse et par son fils Guiseppe, Don Emmanuel Cercoli fit tout pour devenir honnête et repousser les spectres mortels de temps révolus. Mais si l’on peut échapper à un passé, un pays et un régime, nul ne peut échapper à la folie humaine.
Alors Guido, premier petit-fils de Don Guiseppe, dernier des parrains Cercoli, fit un jour un serment.
Un avenir de sable
En ce début de XIXe siècle, l’amour fou et déraisonnable d’un homme pour une jeune fille inaccessible précipite le destin d’une famille dans le flot des bouleversements de ce siècle. Au nom de la guerre sainte, la Méditerranée est écumée par les pirates barbaresques. Les navires sont capturés, les côtes razziées, les habitants réduits en esclavage. Mais une nouvelle Europe émerge, les jours des Barbaresques sont comptés. D’une rive à l’autre de la Méditerranée, l’Histoire en marche va mener à la colonisation, promesse d’avenirs inattendus.
Le montreur d’ours et les Demoiselles
Ariège 1827. Avec les restrictions qu’il impose, le nouveau Code forestier provoque la colère des paysans de montagne qui se voient privés de leurs droits ancestraux. Une révolte éclate contre les propriétaires forestiers et les maîtres de forges. Elle restera dans l’histoire sous le nom de « Guerre des Demoiselles ».
Mais dans cette région en butte au pouvoir, un danger plus grand apparait un an plus tard. De jeunes bergères sont tuées dans d’horribles circonstances. Le lieutenant de Gendarmerie Beaumont prend l’affaire à cœur, malgré la méfiance d’une population révoltée qu’il est officiellement chargé de réprimer. Il va trouver une aide inattendue en la personne d’un ancien militaire devenu colporteur, dont le douloureux secret pèse plus lourd sur ses épaules que sa hotte. C’est le début d’une longue traque sur un territoire montagneux, aussi rude que magnifique.
VICTOR
Comment, dans une famille bienveillante, un être peut-il être aussi différent de ses ascendants ? C’est la question que se pose depuis de nombreuses années Charles Degaldes à propos de son père, Victor. Professeur d’université, auteur à succès, Prix Goncourt, Victor offre deux faces au monde, flamboyante à l’extérieur, sombre pour les siens. Mais à la mort de Jean, le jardinier de la famille qui dans son cœur a remplacé son père depuis son plus jeune âge, Charles découvre une réalité bien pire encore.
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À peine mariée, une jeune femme se retrouve emportée dans la tourmente de la seconde guerre mondiale et de l’amour. Aura-t-elle la force et le courage nécessaires pour faire face à l’horreur et à ses propres démons ? Ses secrets et ses mensonges la perdront-ils ? Quels sacrifices devra-t-elle faire ? Réduite à douter de ses croyances et surtout d’elle-même, réussira-t-elle à survivre au milieu de héros et de salauds, dans la grandeur et les bassesses ?
La vengeance du facteur
Au décès de son grand-père, Jean-Pierre découvre des secrets anciens concernant sa famille. Notamment des actes révoltants à l’issue dramatique, commis par des habitants de ce village contre ses ancêtres. Il décide alors de modifier la trajectoire de sa vie le temps d’accomplir sa vengeance.
Dans ce roman qui se déroule dans le Sud-Ouest de la France à la fin des années soixante et au début des années soixante-dix, on retrouve des personnages attachants, drôles, truculents mais aussi détestables.
Ce roman et celui ayant pour titre « Le facteur amoureux », sont tous deux tirés d’un premier ouvrage intitulé « Le jour où Pépé a passé l’arme à gauche » qui regroupait les deux aventures du facteur. Il n’est plus édité.
Le facteur amoureux
Lorsque Jean-Pierre, jeune facteur, arrive dans le petit village où il va officier pour un temps, il est loin de se douter de ce qui l’attend. Il découvre un village replié sur lui-même, mais dans lequel les habitants cachent bien leur jeu. Son prédécesseur, qui part à la retraite, était un chaud lapin compulsif qui faisait des ravages. D’autre part, l’arrivée de Jean-Pierre dans le bureau de Poste réveille les envies d’une postière au bord de la ménopause, dont le physique digne d’un dessin de Dubout ne freine pas les folles ardeurs.
Dans ce roman qui se déroule dans le Sud-Ouest de la France au début des années soixante-dix, on retrouve des personnages hauts en couleur, drôles, roublards, obsédés sexuels, truculents, parfois malheureux ou pitoyables, mais tous attachants.
Ce roman et celui ayant pour titre « La vengeance du facteur », sont tous deux tirés d’un premier ouvrage intitulé « Le jour où Pépé a passé l’arme à gauche » qui regroupait les deux aventures du facteur. Il n’est plus édité.
Chroniques du Sud-ouest
Ce recueil d’histoires campagnardes, rudes, tendres et drôles, évoque des épisodes réellement vécus dans différents villages du Sud-Ouest.
On y retrouve des personnages pittoresques, hauts en couleur, des tyrans domestiques, des enfants dégourdis, des arriérés et de joyeux lurons, témoins d’une époque révolue.
Une époque où l’on tuait le cochon en compagnie ; où l’on faisait la gnole ; où l’on chassait entre copains capables de rire de tout. Une époque où la vie à la campagne, avec sa dureté et ses aléas, était cependant bien loin de l’idéal bucolique fantasmé par les néo-ruraux d’aujourd’hui.
Mauvais numéro
Comment imaginer un lien entre l’enlèvement et le viol d’une enfant en 1983, la disparition d’une jeune fille en 1994, les odieux assassinats de Mohamed Merah en 2012 et des attentats en 2013 et 2014 ?
Ses enquêtes vont fournir à Max Bertin, officier au SRPJ de Toulouse, des réponses au-delà de toute attente..
Au nom du bien
Un cadavre vient d’être découvert au petit matin dans une église de Toulouse. En se rendant sur place, la capitaine Florence Landry découvre des éléments troublants. Ce meurtre mis en scène n’est hélas que le premier d’une longue série dont les victimes sont uniquement des couples adultères. À l’occasion de cette enquête, la policière va croiser la route du commandant Max Bertin (Mauvais numéro) que l’on retrouve dans ce roman alors qu’il n’a pas encore découvert les réponses aux questions qui hantent sa vie. La longue traque de cet assassin va les rapprocher.
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Je ne vais pas ré-écrire un papier sur ma façon de vivre ce re-confinement enfermée dans une maison du centre-ville sans jardin ni terrasse ni le moindre balcon ; je l’ai déjà fait ! Ni même vous parler des subterfuges mis en place pour contrer le manque d’activité physique et, ce qui est pire pour moi, l’absence de contact avec mes semblables même si j’use et j’abuse du téléphone et d’internet !
J’ai donc commencé à puiser dans mes souvenirs. L’avantage c’est qu’à mon âge des souvenirs on commence à en avoir pas mal ; leur exploration peut donc durer un paquet de temps ! Un vrai trésor en somme...que personne ne me chipera !
Souvenirs donc …J’ai eu la chance, quand j’étais petite fille, de côtoyer de très près, ma grand-mère paternelle que l’on appelait « Mamycha » un joli surnom dont j’ignore l’origine. Veuve, elle passait tous les étés avec nous. Une femme adorable, aimante, qui aimait raconter des histoires, et nous tricoter des pulls qui grattaient. Elle réalisait d’excellentes pâtisseries qu’elle sucrait avec de la cassonade brune. Par ailleurs, elle nous concoctait de drôles de soupes au goût et à la texture indéfinissables, avec tous les petits restes qu’elle glanait dans le frigo. Car elle répugnait à les jeter ou même à les donner aux poules ! Avec un gros morceau de beurre et des croûtons de pain qu’elle faisait frire à la poêle, ma foi ça se mangeait ; de toute façon mes deux sœurs et moi n’avions pas le choix : je suis d’une époque où les enfants avaient obligation de terminer tout ce qu’on nous mettait dans notre assiette. Et sans pouvoir protester !
Cette gentille grand-mère avait l’habitude d’inventer des mots (peut être que le dictionnaire ne lui suffisait pas) Ainsi les moutons, ces sortes de petits amas de poussière qui naissent sous les lits ; s’appelaient chez elle, des « nounouches » ne me demandez pas pourquoi, je le sais pas. De même ; elle désignait sa boite à chocolat en porcelaine ; « le poisson » tout simplement parce que la poignée du couvercle représentait une espèce d’anguille, mais je ne suis incapable d’expliquer pourquoi les ours en peluche chez elle, étaient toujours des « chuchus ». J’ai fait perdurer cet usage car lorsque mes petits enfants ont commencé à prendre l’habitude de dormir chez moi ; j’ai acheté dans un vide-grenier un ours en peluche qui me faisait assurément de l’œil pour que je l’adopte. Je l’ai soigneusement lavé avant de le mettre dans leur chambre. Il s’appelle « Chuchu » bien évidemment. Il est vite devenu le gardien de leur sommeil. Et quand les échos de ce monde qui devient fou et qui perd toute espèce de raison, se font trop pressants, je pense à ce temps de mon enfance, où un chuchu nous gardait de tout cauchemar où notre grand-mère nous chantait une comptine pour nous endormir. Je crois que ce soir, je vais inviter Chuchu sous ma couette...
La Cécilia est le premier roman de Sylvette Faisandier. L’auteur héraultaise trace le portrait d’une femme rebelle dont la vie bascule un soir, alors qu’elle rentre chez elle.
Lasse de subir un environnement professionnel où tout n’est que mensonge, tricherie, bassesse, jalousie et harcèlement, l’héroïne découvre la trahison de son mari, l’amour de sa vie. Son monde s’écroule.
Alors, elle prend la fuite et part se ressourcer en Ardèche, dans une petite maison à flanc de montagne, entre sapins et châtaigniers.
La femme blessée, c’est Séverine. La Cécilia, c’est le nom de la maison ardéchoise dans laquelle elle trouve refuge.
Envie de le lire, n’hésitez pas passer commande directement auprès de l'auteur : sylvette.faisandier.auteur@sfr.fr. Indiquez vos coordonnées par mail, ainsi que votre adresse. En retour je vous donne la mienne pour le règlement du roman (16,90€). Frais
On peut conjuguer , mettre au pluriel ou singulier
et ou féminin , masculin, ou féminin ou masculin...
Vos participations
La participation de l'Auteur Bernad Cazeaux
Parler de rien ne tait pas tout.
Parler de tout, ça n’est pas rien.
Souvent nous nous plaignons de tout
Devant tous ceux qui n’ont plus rien.
Acheter tout pour trois fois rien,
Pour certains représente tout.
Par leurs achats ils oublient tout
En remplissant leur vie de rien.
Aux yeux des pauvres qui n’ont rien.
Aux yeux de ceux privés de tout.
Les paroles ne font pas tout.
Il suffirait d’un petit rien.
Un petit rien, peut valoir tout.
Avec un don de trois fois rien
À ceux qui sont des moins que rien,
On peut parfois apporter tout.
Oui mais voilà, ce n’est pas tout.
Face au besoin d’un petit rien
Les mots émus ne valent rien.
Et pour un rien… on oublie tout.
Moi je dis ça… je ne dis rien !
Bernard Cazeaux
Ainsi que ce texte
Texte de Raymond Devos
Parce qu'on m'a demandé de faire un discours
Je vous signale tout de suite, mesdames et messieurs... Que je vais parler pour ne rien dire.
Oh! je sais! Vous pensez: "S'il n'a rien a dire... Il ferait mieux de se taire !" Ouais c'est trop facile ! ... mais c'est trop facile !
Vous voudriez que je fasse comme ceux qui n'ont rien a dire Et qui le gardent pour eux ? Et bien, non ! Mesdames et messieurs. moi quand je n'ai rien a dire Je veux qu'on le sache ! Je veux en faire profiter les autres ! Et si vous mêmes, mesdames et messieurs, vous n'avez rien a dire, Eh bien, on en parle, on en discute ! Je ne suis pas ennemi du colloque. Mais, me direz-vous, si on parle pour ne rien dire, De quoi allons nous parler?
Eh bien, de rien ! ... De rien ! Car rien, ce n'est pas rien ! La preuve, c'est que l'on peut le soustraire ...
Rien moins rien = moins que rien ! Alors si l'on peut trouver moins que rien, C'est que rien vaut déjà quelque chose ! On peut acheter quelque chose avec rien !
En le multipliant ! Une fois rien... C'est rien ! Deux fois rien... Ce n'est pas beaucoup ! Mais trois fois rien... Pour trois fois rien, on peut déjà acheter quelque chose Et pour pas cher !
Maintenant, si vous multipliez trois fois rien par trois fois rien: Rien multiplié par rien = Rien. Trois multiplié par trois = neuf. Ça fait: rien de neuf !
La participation de l'Auteur Thérèse Cau
Parler de tout et de rien,
De la douce musique qui rythme nos journées,
Un mélange de rock, de soul ou de reggae,
Ou des sons de la nuit qui viennent nous troubler,
Sinistres hululements, bruits sourds, étouffés.
Parler de tout et de rien,
De ce confinement qui peut se prolonger,
Des gestes quotidiens sans cesse recommencés,
De notre inspiration qui semble s'épuiser,
Ce travail cérébral qu'on nous a imposé !
Thérèse Cau
La participation de catherine Pitat
non d'auteurCachou Quivy
Pour l'atelier d'écriture j'ai tout de suite penser à Raymond Devos
avec cette citation extraordinaire
"Une fois rien, c'est rien;
deux fois rien, ce n'est pas beaucoup;
mais pour trois rien, on peut s'acheter quelque chose, et pour pas cher "