Thérèse Cau auteur en pays catalan

Publié le par Evy

Livres de Thérèse Cau

Mon tout premier roman «L'album de l'exil», publié en 2014, traite de la guerre civile espagnole, une guerre qui m'a beaucoup affectée, étant fille et petite-fille de Républicains espagnols réfugiés en France. J'y raconte simultanément l'histoire de ma famille et celle du 4e Président catalan, Josep Tarradellas, au service duquel ma mère était entrée en 1934 et qui joua un rôle clef pour la Catalogne, puisqu'il réussit à rétablir le gouvernement autonome à Barcelone après la mort de Franco. Ce livre, j'ai tenu également à le traduire en catalan, ma langue maternelle sous le titre de «La filla de la Terra Alta a cals Tarradellas» (2019).

 

 

 

 

 

En 2018, avec: «Ils voulaient fusiller la liberté», je suis revenue sur le thème de la guerre civile pour dénoncer les exactions franquistes commises dans la décennie de l'après-guerre, à travers l'histoire authentique de Pepe, le maire républicain d'un village de la Mancha, emprisonné et condamné à mort, mais qui réussit à sauver sa peau en sautant du camion, sur le chemin du cimetière où il devait être fusillé.

 

 

 

J'ai également écrit quatre romans policiers, où je me plais à mélanger les genres, ainsi que fiction et réalité. Au premier plan, se déroulent l'enquête policière et la recherche des meurtriers, mais au second plan, je raconte parallèlement une autre histoire:

- dans «Saints de glace au Racou» (2015), celle de ce village de sable menacé par les tempêtes depuis la construction de Port Argelès, à cause de l'érosion de sa plage, tandis que des gendarmes enquêtent sur la mort d'un étranger tombé au pied d'une falaise

- dans «Mala sort» (2016), la vie forestière et les traditions dans le haut Vallespir, derrière le meurtre d'un bûcheron laurentin

 

 

 

 

 

 

- dans «Un port de déesse» (2017), l'arrivée massive des pieds-noirs à Port-Vendres après l'indépendance de l'Algérie, ainsi que les profonds bouleversements dans le port de commerce et le vieux port, où un pêcheur local est trouvé noyé

- dans «Pinzutu» (2020), à travers la mort d'un professeur de français trouvé flottant entre deux eaux au nord d'Ajaccio, le climat de violence régnant en Corse dans les années 80 et les difficultés des Continentaux venus y travailler, face aux menaces et intimidations en tout genre.

 

 

 

 

 

 

L'écriture est pour moi à la fois une passion et une thérapie. Pour vous procurer mes livres, contactez-moi par courriel à cette adresse: cau.therese@wanadoo.fr

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